Le Joueur d'Echec, Stefan Zweig

Joueur d’échec de Stefan Zweig

Partie I

Stefan Zweig (1881-1942) était un écrivain a autrichien renommé du XXe siècle. Il a écrit des nouvelles, des romans et des essais. Il a vécu une vie marquée par l'intellectualisme et les voyages. Parmi ses autres œuvres notables figurent Amok (1922), La Confusion des sentiments (1927), Vingt-quatre heure dans la vie d’une femme (1927) . Stefan Zweig a dû fuir l’Europe en 1938 a cause de la monte du nazisme car il était d’origine juive. Il se suicide ensuite avec sa femme en 1942 attriste par la monte du nazisme, la Seconde guerre mondiale, et la perte de l’Europe qu’il aimait tant. Le Joueur d’échec a été publie en 1943 après la mort de Stefan Zweig. C’est l’une de ces ouvres les plus connu.

Partie II

Le Joueur d’échec est une nouvelle qui met en scène la rencontre entre Mirko Czentovic, un champion du monde renommé d’échecs et le mystérieux Dr B, un avocat juif devenu un prisonnier des nazies. Dans sa nouvelle Stefan Zweig dénonce notamment le nazisme à travers l'éprouvante mise en abime de l'histoire du Dr. B. Celui-ci raconte la torture morale que lui ont fait subir les nazies. « Dans cette petite pièce close où personne ne pouvait me voir ni m'entendre, ils pouvaient me torturer à leur guise, inventer les souffrances les plus raffinées et les plus cruelles, l'écartèlement, la roue, le bûcher, tout ce qu'ils voulaient : il n'était plus besoin que du fouet symbolique, du nerf de bœuf virtuel, pour que j'éclate en sanglots. »  Un autre passage particulièrement intéressant est celui ou le Dr. B réjouit aux échecs et retombe dans sa folie. « Pourtant, j’étais de plus en plus persuade  qu’il nous avait tous oublies, y compris Czentovic, et qu’il était en proie à une crise de démence froide qui pouvait éclater tout à coup avec violence. » Ce passage montre particulièrement la gravite de la folie du Dr. B et les impacts de la torture nazie sur lui.

Partie III

J’ai beaucoup apprécié Le Joueur d’échecs de Stefan Zweig. J’ai trouvé l’histoire très bien écrite, avec les différentes histoires de Czetovic et du Dr. B. L’auteur a su créer une atmosphère de tension psychologique captivante tout au long de l’histoire. J’ai particulièrement aimé le Dr. B qui était un personnage attachant avec une histoire étonnante. L’auteur a su décrire la torture morale subit par ce personnage et presque a nous la faire ressentir.

J’ai aussi adoré la manière dont Stefan Zweig explore l’esprit humain a travers l’obsession du jeu, que ce soit avec Czentovic : un attarde devenu champion du monde d’échecs, ou bien avec l’obsession Dr. B.  La fin inattendue laisse à réfléchir sur la fragilité de l’équilibre mental.

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