"Le Dernier jour d'un condamné" de Victor Hugo

Le chapitre VI du roman "Le Dernier jour d'un condamné" de Victor Hugo aborde la question qui est "pourquoi écrire ?" à travers la réflexion et les émotions du protagoniste, un homme condamné à mort. Ce commentaire de texte se propose d'analyser le passage allant de « Pourquoi n’essaierais-je pas.. » jusqu'à la fin du chapitre en trois axes : se raconter, analyser et condamner/convaincre.

Dans ce chapitre, le narrateur se justifie en affirmant qu'il écrit pour se raconter lui-même. Il voit l'écriture comme une forme de journal intime qui lui permet d'exprimer ses pensées et ses émotions les plus profondes. En se racontant, il apaise sa conscience et se donne l'occasion de se comprendre lui-même. Ainsi, la parole écrite lui permet d’apaiser ses sentiments et d'apaiser son esprit tourrmenté.

Le condamné analyse sa propre situation et celle de la société. Il exprime sa vision du temps car pour lui le temps passe vite du fait de son état d'angoisse. Son récit ressemble à un journal, car il transmet les événements de manière chronologique et détaillée. Le condamné analyse sa propre situation et celle de la société.

L'écriture lui permet également une opportunité unique de garder sa propre identité et de ne pas être réduit au nom de "condamné à mort". En racontant son histoire, le narrateur maintient un certain contrôle sur sa propre vie et se positionne en tant qu’une personne comme les autres plutôt qu'en tant qu’une chose de la justice. En écrivant, il se donne la possibilité d'exister en tant que personne à part entière, même si cette existence vas disparaître du fait de sa condmntin.

L’un des 3 axe qui est exploré dans ce chapitre a est la capacité d'analyse qu'elle offre au narrateur. En écrivant, il examine ses propres pensées et motivations, et essaie de comprendre le sens de sa condamnation à mort. L'écriture lui permet de creuser ses penser et d'analyser les événements qui l’ont mener à sa situation actuelle.

L'analyse est également une forme de rébellion contre la justice qui l'a condamné. En utilisant l'écriture comme un outil pour remettre en question les valeurs de la société, le narrateur défie l'autorité et cherche à révéler l'injustice de sa condamnation. L’écriture devient une forme de résistance et de lutte contre la condamnation.

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