La dynamique de la lithosphère

La dynamique de la lithosphère

La lithosphère est découpée en plaques, appelées plaques lithosphériques ou plaques tectoniques ; animées par des mouvements et des déformations qui ont affectés des terrains géologiques en créant des failles, des plis… On cherche à expliquer les méthodes permettent de caractériser les mouvements des plaques lithosphériques. Dans un premier temps nous évoquerons les différents mouvements aux frontières des plaques, et ensuite nous parlerons des procédés qui permettent de déterminer ces mouvements.

Tout d’abord, parlons des plaques lithosphériques. Celle-ci peuvent être animées par deux types de mouvements : mouvement de divergence (éloignement de deux plaques) au niveau des dorsales ou mouvement de convergence (rapprochement de deux plaques) au niveau des zones de subduction et au niveau des zones de collision continentale.[pic 1]

Ensuite, ces mouvements peuvent être prouvées par les anomalies magnétiques. Pour trouver ces anomalies il faut relever les valeurs du champ magnétique fossilisé dans le basalte, le fond des océans (lithosphère océaniques). On peut alors voir des bandes parallèles de champ magnétique identique ou inverse se succéder, elles traduisent respectivement des anomalies positives ou négatives. La mise en évidence de bandes d’anomalies magnétiques symétriques par rapport à l’axe des dorsales océaniques, en relation avec les phénomènes d’inversion des pôles magnétiques permet de démontrer le déplacement des plaques lithosphériques et donc du tectonique.

De surcroît, lorsque deux plaques tectoniques s’écartent elles font apparaître une faille et entrainent avec elles les basaltes qui s’affaissent et se recouvrent progressivement de sédiments. On peut donc en déduire un mouvement divergeant en observant l’épaisseur des sédiments. En plus de l’observation de leur épaisseur, on peut les dater, en les récupérant par cottage, les couches sédimentaires déposées au-dessus du basalte sont plus anciennes plus ont s’éloigne de la faible de la dorsale. Cela nous permet d’en déduire le mouvement des plaques. [pic 2]

Puis, certains volcans se situe au sein même d’une plaque, on parle de volcanismes intraplaques, due à des points chauds et sont témoins du déplacement.  Les volcans liés aux points chauds forment des alignements caractéristiques : à l’aplomb du point chaud se trouve un volcan actif à la tête d’un archipel de volcans éteints. L’âge des volcans augmentent avec l’éloignement du point chaud. Ces points chauds montrent le déplacement des plaques tectoniques sur plusieurs millions d’années. [pic 3][pic 4]

De même, la géodésie, la science de la mesure de la Terre, étudie notamment la déformation de la Terre et de son écorce terrestre. Cette science permet de vérifier le modèle de la tectonique des plaques imaginé par Wegener en 1912. La géodésie spatiale à permis au modèle d’être plus précis ; cette technique de mesure s’appuie sur des techniques de mesures telles que des satellite (SLR)ou des GPS. Ces techniques permettent de détecter des mouvements de l’ordre du millimètre et en temps réel. On a pu remarquer une variation du positionnement des stations d’enregistrement implantées à certains points sur le globe terrestre les unes par rapport aux autres.

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