Francis Ponge, Le parti pris des choses
Résumé : Francis Ponge, Le parti pris des choses. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lelechou • 12 Décembre 2024 • Résumé • 345 Mots (2 Pages) • 15 Vues
J’ai choisi le recueil de poème de Francis Ponge, « le Parti Pris des Choses » :
- Composé de 32 poèmes
- Publié en 1942, écrit de 1924-1939. (2nde Guerre Mondiale pendant la publication mais écriture avant)
- Auteur et recueil non engagé mais forte idéologie (Ponge adhère au parti communiste en 1937)
- J’ai choisi ce recueil de poème car :
• Ses poèmes sont courts, ils ne font que quelques phrases et aborde des thèmes classiques (nature, eau, terre, feu, air, saisons, végétations, etc…)
• On retrouve le geste de l’enfant :
o Dans la table des matières. Ressemble à l’encyclopédie (fait penser par conséquent à l’école) de part le fait qu’il manque des déterminant sur certain titre de poèmes.
o Personnification + utilisation d’animaux (support image)
• Il est original
- Par le fait que ses poèmes sont des objets banals que l’on retrouve dans la vie quotidienne (cagot, roc, escargot)
- Car ses poèmes sont écrits en proses comparé aux autres poèmes de cette époque comme ceux de Paul Eluard, « comprenne qui voudra » ou Baudelaire.
- Car il utilise des animaux peu communs aux autres poèmes comme les mollusques (huitre)
- Rupture des mouvement communs au siècle comme le romantisme mais utilise le ready made=> clin d’œil à Duchamp.
• Il nous fait redécouvrir le monde, fait changer notre façon de voir les choses
- Son alchimie poétique rejoint celle de Baudelaire avec la boue et l’or, il voit les choses composés d’autre chose et associe donc les oxymores (notamment la consommation et la conversion-on le retrouve dans la cigarette et le roc)
- Il nous explique quelque chose d’abstrait avec des exemple et un support imagé concret comme Baudelaire avec le spleen
• Ne parle que très peu des être humains comparé à Baudelaire et leur enlève toute forme d’humanité, les représente avec peu de vie, comme des objets inanimés ou par des défauts. Il n’y a que 6/32 poèmes dont l’homme fait mention. Néanmoins dédramatise avec des jeux de mot comme pêcheur (le métier) et pécheur (faute commises).
Il souhaite nous départir d’une vision présomptueuse qui mettrait l’homme aux centres du l’univers du détriment des choses elle-même.
Le poème que j’ai particulièrement apprécié est le poème « le feu » : lecture
...