Baudelaire, L'Albatros

“L’Albatros” est un poème de Charles Baudelaire publié en 1857 dans son recueil “ Les Fleurs du mal “. Baudelaire appartient au mouvement littéraire francais “Le Romantisme” prônant les sentiments et la sensibilité du lecteur. Mais il est aussi un précurseur du symbolisme. Le poème décris l’image d’un albatros, oiseau majestueux et puissant lorsqu’il est dans les airs mais vulnérable et ridicule sur terre. Ce poème comporte 16 vers Et 16 alexandrins.

Comment ce poème offre-t-il une réflexion sur la condition du poète ?

Dans un premier temps, nous étudierons  l’anecdote du voyage dnas le Premier mouvement vers 1à 8, Ensuite nous verrons du vers 9 à 12 le deuxième mouvement sur l’oiseau qui est victime de moquerie et Enfin du vers 13 à 16 le troisième mouvement qui est porteur de symbole.

Mouvement 1 :

→ “Souvent” adverbe de fréquence → impression de début d’une histoire

→ “Vers 2 “ Périphrase méliorative → description du cadre de l’histoire mélioratif

→ “ les Hommes d’équipage (vers4) “ et “le navire (vers4)” métaphore → compare cette histoire à la société

→ “Gouffre amers” métaphore → compare cette histoire a une dimension menssante

→ “ pour s'amuser” (vers 1) l’insise → élément déclencheur cruauté des Hommes

Mouvement 2

→ “Comme il est gauche et veule ! ” comparaison + phrase exclamative → Moquerie de l’oiseau

→ “Comme il est gauche et veule !” et “ qu’il est comique et laid!” parallélisme→ l’oiseau est victime de moquerie lorsqu’il est sur la terre, pas dans son élément

→ “L’un …. l’autre” antithèse → ce que les marins font sur l’oiseau

Mouvement 3

→ “Vers 13 “ comparaison → poète est comme un ange

→ “Vers 14” métaphore → le poète est quelqu’un qui a une vision du monde

→ “Exilé” participe passé → auteur est comme un exilé étranger désaimé lorsqu’il avec le peuple

→ “ Ses ailes de géant” métaphore → désigne son géni

Conclusion:

 Pour Conclure, Baudelaire décrit sa condition mentale , il se compare a un albatros.Il se dit incompris et isolé de la société dans ses poèmes tout comme l’albatros lorsqu’il est sur Terre. Ce sentiment aussi partager par Rimbeau.  

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