Antoine de St-Exupéry, Le petit prince

Compréhension orale                Semaine 17

                Prénom : ……………………..

« Le petit prince » rédigé par Antoine de St-Exupéry

Chapitre 1

Écoute le livre audio et complète simultanément le premier extrait du livre figurant ci-dessous :

Lorsque j’avais …………………… ans j’ai vu, une fois, une magnifique image, dans un livre sur la Forêt Vierge qui s’appelait « Histoires Vécues ». Ça représentait un …………………… qui avalait ……………………. Voilà la copie du dessin. On disait dans le livre :

« Les serpents boas avalent leur …………………… tout entière, sans la mâcher. …………………… ils ne peuvent plus bouger et ils dorment pendant les ……………… mois de leur digestion. »

J’ai alors beaucoup …………………… sur les aventures de la …………………… et, à mon tour, j’ai réussi, avec un crayon de couleur, à tracer mon premier dessin. Mon dessin numéro 1. Il était comme ça :

[pic 1]

J’ai montré mon chef-d’œuvre aux ……………………et je leur ai demandé si mon dessin leur faisait ……………………. Elles m’ont répondu : « Pourquoi un …………………… ferait-il peur ? » Mon dessin ne représentait pas un chapeau. Il représentait un serpent boa qui digérait un ……………………. J’ai alors dessiné ……………………du serpent boa, afin que les grandes personnes puissent comprendre. Elles ont toujours besoin d’explications. Mon dessin numéro 2 était comme ça :

[pic 2]

Les grandes personnes m’ont conseillé de laisser de côté les …………………… de serpents boas ouverts ou fermés, et de m’intéresser plutôt à la géographie, à l’histoire, au calcul et à la grammaire.

C’est ainsi que ……………………, à l’âge de six ans, une magnifique carrière de peintre. J’avais été découragé par……………………de mon dessin numéro 1 et de mon dessin numéro 2.

Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c’est fatigant, pour les ……………………, de toujours et toujours leur donner des …………………….

CHAPITRE 2

– S’il vous plaît… dessine-moi un mouton ! – Hein ! – Dessine-moi un mouton…

[pic 3]

CHAPITRE 7

Le cinquième jour, toujours grâce au mouton, ce …………………… de la vie du petit prince me fut révélé. Il me demanda avec brusquerie, sans préambule, comme le fruit d’un problème longtemps médité en silence :

 – Un mouton, s’il mange les arbustes, il mange aussi les …………………… ?

– Un mouton mange tout ce qu’il rencontre.

– Même les fleurs qui ont des ……………………?

– Oui. Même les fleurs qui ont des épines.

– Alors les épines, à quoi servent-elles ?

Je ne le savais pas. J’étais alors très …………………… à essayer de dévisser un boulon trop serré de mon moteur. J’étais très soucieux car ma panne commençait de m’apparaître comme très grave, et …………………… à boire qui s’épuisait me faisait …………………… le pire.

– Les épines, à quoi servent-elles ?

Le petit prince …………………………………………à une question, une fois qu’il l’avait posée. J’étais irrité par mon boulon et je répondis n’importe quoi :

– Les épines, ça ne sert à rien, c’est de la pure ……………………de la part des fleurs !

– Oh !

Mais après un silence il me lança, avec une sorte de rancune :

– Je ne te crois pas ! Les fleurs sont ……………………. Elles sont naïves. Elles se rassurent comme elles peuvent. Elles se croient terribles avec leurs épines…

Je ne répondis rien. À cet instant-là je me disais : « Si ce boulon résiste encore, je le ferai sauter d’un coup de marteau. » Le petit prince dérangea de nouveau mes réflexions :

– Et tu crois, toi, que les fleurs…

– Mais non ! Mais non ! Je ne crois rien ! J’ai répondu n’importe quoi. Je m’occupe, moi, de ……………………!

Il me regarda stupéfait.

– De choses sérieuses ! Il me voyait, mon marteau à la main, et les doigts noirs de cambouis, penché sur un objet qui lui semblait très laid.

– Tu parles comme les grandes personnes !

Ça me fit un peu honte. Mais, impitoyable, il ajouta :

– Tu …………………… tout… tu ……………………tout !

CHAPITRES 10 à 17

Décris en quelques mots les habitant.e.s des planètes dont le petit prince fait la visite :

Planète 1 :

Planète 2 :

Planète 3 :

Planète 4 :

...