Poème de Joachim du Bellay
Cours : Poème de Joachim du Bellay. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar • 5 Novembre 2014 • Cours • 344 Mots (2 Pages) • 758 Vues
Ce corpus est composé de trois poèmes. Le premier est un poème de Joachim du Bellay qui s’intitule Les Cheveux d’or et qui date de 1550. Il est extrait de l’œuvre L’Olive. Ce poème est un sonnet. Lesdeux autres textes sont des poèmes de Charles Baudelaire. Le premier a pour titre Un hémisphère dans une chevelure. Il date de 1869 et il est extrait de son œuvre Le Spleen de Paris. Cette œuvre futpubliée après la mort de Baudelaire. Il fut écrit en prose, ce qui pour Baudelaire était une quête de perfection et d’idéal. Le second poème de Charles Baudelaire s’intitule La Chevelure et il estextrait de son œuvre Les Fleurs du mal qui date de 1861. La forme de ce poème est une succession de sept quintils.
Ces trois poèmes ont pour thème principal la chevelure de la femme. Nous allons doncmontrer comment ces trois poètes célèbrent-ils la femme à travers leur chevelure.
Dans une première partie nous verrons comment la synecdoque de la chevelure célèbre la femme aimée à travers cestrois poèmes. Ensuite, dans une seconde partie nous verrons que ces trois poèmes traitent de l’amour comme une sensation de chaleur ardente.
Dans cette première partie nous allons voir que dans cestrois poèmes, la synecdoque de la chevelure permet de célébrer la femme.
Des trois poèmes ont pour thème principal la femme avec la synecdoque de la chevelure. Les poètes utilisent une partie ducorps, en l’occurrence la chevelure, pour désigner un tout, c’est-à-dire la femme aimée par le poète.
Premièrement, dans le texte A la femme est d’abord désignée par le terme « ces cheveux d’or sontles liens » au v.1, ainsi avec cette métaphore où les cheveux sont vue comme des liens, ils représentent prive le poète de « liberté » v.2. Le poète devient alors un amant prisonnier de la beauté decette femme. De plus il y a une opposition entre les liens et la liberté. Cette même idée est reprise dans le texte C, au v.22 avec « où l’autre est enfermé ». Dans cette expression, l’adverbe de...
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