Les réécritures

Dissertation de première L sur les réécritures (A été corrigé et noté : 15/20)

(introduction) Jean-Luc Hennig a dit: " Tout texte n'est jamais que l'empreinte d'un autre". En effet, depuis toujours et de différentes manières, la réécriture se présente à nous. Nous la retrouvons dans différents domaines tel que la poésie, la fable, le roman, le théâtre, la musique ou encore le cinéma. Les réécritures ne sont-elles que des imitations? En nous fondant sur des exemples littéraires et paralittéraires, nous nous demanderons si hormis le fait d'être de simples copies d'un original, les réécritures ont d'autres fonctions. Il s'agir donc d'étudier dans un premier temps en quoi la réécriture est une simple copie du texte source, mais de voir aussi qu'elle est un texte original à part entière. Enfin, nous nous intéresserons aux réelles finalités de celle-ci.

La réécriture est tout d'abord, une simple copie du texte source. En effet, ceci est dû d'une part à la difficulté de nier les qualités de l'original. Assurément, les vertus de ces originaux sont donc irremplaçables et se doivent d'être conservés. C’est pourquoi, sans forcément plagier les textes, ceux-là sont repris et parfois convertis en d’autres genres comme par exemple le poème Heureux qui, comme Ulysse… de Joachim du Bellay, repris en chanson par le groupe Ridan. Mais aussi Antigone de Sophocle, dans l’impossibilité de nier les qualités de cette pièce Anouilh l’a repris dans son intégralité en 1944.

(Ne pas sauter de ligne mais faire simplement un alinéa) D’une autre part, la réécriture se doit d’être une simple copie du fait que certains thèmes sont universels. Depuis les origines de la littérature, ces thèmes plaisent et font l’unanimité. L’exemple de la première rencontre est très courant. Dans Mémoires d’un fou par Gustave Flaubert, nous y découvrons un jeune homme qui vit sa première rencontre avec madame Arnoux dont il fait l’éloge. Puis, plus tard an 1972, les amateurs

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