Autobiographie Simone Veil
Dissertation : Autobiographie Simone Veil. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar fgergerkg • 28 Février 2019 • Dissertation • 933 Mots (4 Pages) • 594 Vues
Hilmi-dias Mercredi 30 Novembre 2017 31 Rayhan
Autobiographie Simone Veil
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Note :
Observations:
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Je me nomme Simone Veil, née le 13 juillet 1927 à Nice et je suis une femme d'état Française.
Ma famille et moi sommes originaire de Bionville-sur-Ned, du village de la Lorraine. Mon père, André JACOB est architecte et ma mère, Yvonne STEINMETZ a arrêté ses études en chimie suite à leur mariage.
En tout, notre famille se compose de ma mère, mon père, mon frère, ma sœur et moi même.
Je suis issue d'une famille juive qui revendique la culture juif mais malgré ça, nous sommes très laïques et très ouverts d’esprits.
Mon véritable nom est Simone JACOB mais grâce à de faux papiers, j'ai réussi à la faire changer en '' Veil ''. malheureusement, suite à ces faux papiers, ma famille et moi sommes arrêté par la Gestapo en 1944 parce que je suis Juive.
Je suis alors transféré dans le camp d'Auschwitz en Allemagne, mais je n'ai pas su ou étaient transféré ma mère, mon père et mon frère.
Ce camp a été une véritable torture, je crevais de faim, la nourriture était une denrée rare pour moi et pour les juives du camp. Comme repas, j'ai eu le droit qu'à du quignon de pain et une soupe qui avait un goût horrible. Mais suite à ces nombreux repas aux files des jours, pour garder le morale, j'ai inventé des recettes et festins imaginaires pour me nourrir d'humanité. J'ai rêvé de perdreau rôti, de pattes de lièvres et de soufflé au confiture. Mais malgré mes efforts pour apaiser mes maux de ventre, je ressemblais toujours autant à un squelette.Nous avons été battu, torturé, je dormais avec un œil ouvert par peur que les gardes reviennent. J'ai pleuré pendant des nuits en espérant sortir de cet enfer.
Du haut de mes seize ans, j'ai trouvé absurde l'idée de faire subir de telles horreurs à des humains même si nous sommes juives.
Puis, le 27 Janvier 1945, l'armée Rouge entre dans Auschwitz et nous délivrent de ce cauchemar sans fin.
Dés mon retour en France, j'apprends avec joie que j'ai réussi mon baccalauréat, mais je suis triste de ne pas voir ma famille avec qui j'aurais aimé partager ce moment, seule ma sœur a survécu.
Suite à ma réussite scolaire, je rentre à la faculté de droit et à l'institut d'études politiques à Paris en 1945. Puis, munie de ma licence de droit et de mon diplôme d'études politiques, j'ai renoncé à une carrière d'avocate et je passe avec succès, le concours de la magistrature. J'occupe alors un poste de haut fonctionnaire dans l'administration pénitentiaire au ministère de la Justice ou je m'occupe des affaires judiciaires.
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