Lorenzaccio, Musset
Commentaire d'oeuvre : Lorenzaccio, Musset. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar faufau. • 1 Novembre 2023 • Commentaire d'oeuvre • 1 792 Mots (8 Pages) • 127 Vues
Scène 1
- Le duc
- Lorenzaccio
- Giomo, l’écuyer du duc
Florence est en plein carnaval. La lune éclaire un jardin.Le duc Alexandre de Médicis
accompagné de Lorenzo de Médicis enlève une jeune fille vendue par sa propre mère
devant les yeux de son frère, Maffio.
Scène 2
- L’orfèvre, père Mondella
- Le marchand
- 2 écoliers
- Un bourgeois et sa femme
- Un soldat
- Le duc
- Julien Salviati
- Louise Strozzi
Le lendemain matin, les bourgeois de la rue marchande de Florence observent la
sortie d’un bal où ils sont tous ivres. Plusieurs commerçants et bourgeois masqués sortent
d’une maison illuminée. Ces derniers commentent la situation politique de la ville. Est
compris le père Mondella, un orfèvre qui déplore la décadence régnant dans la cité et qui
critique Alexandre de Médicis, le duc, un bâtard dépravé et cruel dont les proches multiplient
cynisme et outrages. Une femme, admirative devant les fenetres éclairées, évoque avec
envie le ba magnifique donné par Nicolo Nasi pour le mariage de sa fille. Déguisé en
religieuse, le duc Alexandre sort du bal en compagnie de son fidèle Salviati. Ce dernier
provoque la belle Louise Strozzi, en effet, il tente de la séduire mais en vain.
Leur dialogue met en place le cadre historique de la pièce; la ville de Florence est
prise entre le pape et l’empereur, donc le duc Alexandre de Médicis a pris le pouvoir pour
gérer la ville. C’est un tyran qui pense davantage à s’amuser qu’à gouverner.
Scène 3
- Le marquis Cibo, frère du duc
- La marquise, Ricciarda
- Le cardinal Cibo, le frère du marquis
- Ascanio, le fils du marquis
- Agnalo (un page)
Le marquis de Cibo fait ses adieux à sa femme, son fils et son frère; il part à Massa
pour une durée d’une semaine. La marquise est triste de ce départ tant elle est amoureuse.
Le mari confie sa femme à son frère le cardinal Cibo. Ensemble, ils discutent du bal des
Nasi et très vite, la marquise montre son dégoût pour le duc qu’elle décrit comme un tyran
provocateur. Lorsqu’elle sort, le cardinal appelle le page (Agnalo) ce celle-ci. Contraint, il lui
tend une lettre du duc destinée à la marquise. On apprend que le duc lui a fait la cour depuis
deux mois et qu’elle est partie le rejoindre, malgré le discours qu’elle a tenu.
Scène 4
- Le duc alexandre de Médicis
- Valori, un commissaire apostolique, prêtre, cardinal
- Sir Maurice, le chancelier du duc
- Le cardinal Cibo
Le même jour, dans le palais du duc. Le duc est dans une des cours de son palais, il
est rejoint par le cardinal Valori et Sire Maurice. Ceux-ci font part au duc des nouvelles du
pape. En effet, ce sont des envoyés du pape. Ces derniers pensent que Lorenzo est un
mauvais personnage pour le gouvernement. Il n’a qu’un seul rôle; débaucher le duc, mais
celui-ci n’adhère pas à cette idée. Lorsque Lorenzo les rejoint, sire Maurice le provoque et le
duc amène les deux hommes à se battre à l’épée. Néanmoins, Lorenzo, apeuré et mauvais
soldat prend peur et fait un malaise dans le but d’être vu comme un lâche.
Lorenzo est surnommé avec mépris Lorenzaccio, en effet, le suffixe “accio” signifie
“le petit”.
Scène 5
- Une femme
- Sa voisine
- Une dame de la cour
- Le marchand
- L’orfèvre
- Quelques cavaliers
- 2 bourgeois
- Un officier allemand
- 2 dames de la cour
- Salviati
- Léon Strozzi (e prieur de Capoue)
Cette scène met en place le cadre politique, elle se passe à l’église San Miniato, où les gens
se font brutaliser par la garde allemande mise au service du duc. Les belles dames de la
Cour discutent, avec les bourgeois et les favoris du duc. Apparaît alors Julien Salviati. Après
avoir scandalisé plusieurs dames, il se vante d'une promesse que lui aurait faite Louise
Strozzi, celle de coucher avec lui.
Scène 6
- Marie Soderini, la mère de Lorenzo
- Catherine Ginori, la tante de Lorenzo
- Groupe de bannis
- Maffio
Le soir, au bord du fleuve Arno, Marie Sodernie, la mère de Lorenzo discute avec
Catherine, la tante de ce dernier. Elle déplore
...