Commentaire de l'œuvre colbertiste
Commentaire d'oeuvre : Commentaire de l'œuvre colbertiste. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Paul2Y2 • 16 Septembre 2024 • Commentaire d'oeuvre • 1 962 Mots (8 Pages) • 30 Vues
Dans ses mémoires sur le commerce, Jean-Baptiste Colbert rédige un text sur le premier conseil de commerce tenue par Le Roy. Jean baltique Colbert développe dans c text c’est idée mercantiliste pour l’économie de la France. Un text rédigé en 1661 date ou Jean Baptiste (1619-1683), fils de marchand rémois, devint contrôleur des finances sous Louis XIV
. Il occupa ce poste durant un peu plus de vingt ans, soit de 1661 à 1683.
Arrivé au pouvoir après le scandale de l’affaire Fouquet, Colbert doit réorganiser les finances de la France dans une guerre d’argent entre les différentes puissante europenénes.
Durant son poste il ‘inspirera des théories mercantilistes et contrôle toutes les activités économiques et même cultu relles de la France. .
Son action s'étendait des activités les plus minimes aux plus importantes, de l'enseignement technique de la broderie à l'expansion commercial de la France.
Ainsi comment Colbert construit la nouvelle politique économique française ?
Nous verrons premièrement La france dans la guère d’argent puis un protectionnisme radicale enfin un commerce extérieur sous le contrôle de l’état.
1/ La France dans guerre d’argent
Une société basé sur le bullionismes
Une France qui subit les stratégies financière étrangère
2/ Un protectionnisme productif
Le proctionisme
Une France productive
3/ un commerce extérieur
Une industrie qualitative
La marine essentiel au commerce
1/A
Colbert ministre de finances de louis 14 énonce que « l’abondance d’argent…. »
Au Moyen ge, la puissance d'un roi reposait sur ses seigneuries, le nombre de vaisseaux et la taille de son armée.
Cependant, à la fin du XVIe siècle, l'essor des théories mercantilistes a transformé le critère de puissance royale, basculant vers la richesse nationale stimulée par le commerce extérieur.
Ainsi, la puissance d'un roi s'est désormais ancrée dans son pouvoir économique.
Avec l'avènement des empires coloniaux, l'Europe s'efforce d'attirer le maximum d'or et d'argent, mais au XVIIe siècle, ces arrivées ralentissent, déclenchant une compétition entre les rois européens pour ces réserves de richesse.
La société adopte une vision bullioniste, mais avec des ressources statiques, réticente à partager sa richesse avec d'autres puissances.
Ceci marque le début de la guerre d'argent, une lutte dont la nature n'est pas exclusivement militaire malgré des conflits armés, mais plutôt centrée sur l'accumulation de métaux précieux pour accroître la puissance d'un empire. Dans ce contexte, le développement commercial devient crucial pour gagner ces métaux précieux.
1/B
Colbert constate avec inquiétude que la France perd considérablement d'argent, estimé entre "12 à 18 millions de livres", en important diverses ressources de pays étrangers.
Ce montant semble excessif à ses yeux, car il considère crucial de protéger les "mines" du royaume, c'est-à-dire sa réserve d'argent.
La France se distingue par un niveau d'importation bien plus élevé que des puissances européennes telles que l'Angleterre et les Pays-Bas.
La soie hollandaise, très prisée par la noblesse française pour la confection de costumes, contribue à cette dynamique.
De plus, la France rencontre des difficultés dans ses ventes, car au lieu de recevoir une somme substantielle en argent liquide provenant de ces échanges, une majorité (deux tiers) se matérialise sous forme de marchandises diverses, en provenance des manufactures étrangères ou d'autres pays.
Ainsi, le royaume ne bénéficie que de 4,5 à 6 millions de livres en argent liquide chaque année. Colbert identifie différentes tactiques employées par les étrangers, telles que le fret de vaisseaux, les marchandises des îles françaises, les draperies, les produits des Indes, les épiceries, les soieries, etc., qui contribuent à cette situation inéquitable.
La France subit les stratégies des pays étrangers, avec les ports français se pliant aux règles des navires hollandais, ces derniers dictant les prix.
Colbert évoque leur rôle de "maîtres de tout le commerce de la navigation". Dans cette analyse, Colbert dresse le tableau des erreurs françaises dans cette guerre financière, mettant en lumière les faiblesses du pays et la puissance croissante de ses ennemis.
La description de ces dynamiques dévoile l'emprise grandissante des adversaires sur la France dans ce contexte économique complexe.
GRAND 2
2/ A
Colbert, face au pillage perpétré par les Hollandais et d'autres puissances minières en France, s'engage résolument dans la quête de solutions.
Il élabore une politique protectionniste visant à réorganiser l'économie hexagonale. Une mesure phare consiste à accroître les taxes sur les importations, provoquant ainsi une réduction drastique des flux entrants.
Dans cette démarche, il interdit spécifiquement l'importation de la soie hollandaise.
L'objectif principal de Colbert est d'entraver la sortie des métaux précieux du pays et de favoriser leur circulation à l'intérieur de la France. Pour ce faire, il encourage toute industrie susceptible d'apporter des métaux.
Dans une perspective de faciliter le commerce intérieur, il initie d'importants travaux, dont la création de routes royales.
Parallèlement, dans un souci de fluidifier les échanges, il abolit les droits de passage entre
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