Lettre d'un maquisard

Chère Père chère Mère,

Vous me manquez atrocement. Je vous écris aujourd’hui de loin pour vous annoncer que j’ai été appelé au STO et que j’ai préféré fuir pour rejoindre les maquis de la région. Mon choix n’a pas été facile mais aujourd’hui je ne regrette pas. C’est après le message de Charles De Gaulle que je me suis remis en question. Celui-ci dis que la guerre n’est pas finis et que notre vieillard de gouverneur que dige pas  le nôtre mais leurs vieillard car Pétain n’est plus un Français, il est du coter allemand et est c’est un soumis. La France est pas seul on peut compter sur Charles De Gaulle et nos amis les britanniques. Nous pouvons battre l’Allemagne ! N’importe qui peut nous rejoindre ! Comme dirais mon amie la guerre n’est pas finis, mais la mienne commence ! Ma vie de maquisard n’est pas très facile j’ai vu la semaine dernière mourir mon amis ça m’a fait beaucoup de peine mais ça m’a donné encore plus envie de me battre pour lui, pour moi, pour vous et pour la France. Je ne vous dis pas ou je dors car ma lettre qui vous est destiné pourrait tomber dans de mauvaises mains… Nous ne sommes plus libre, les allemands sont partout chaque sortis en ville est une appréhension. Pour me protéger j’ai des nouveaux papiers. Nous sommes très organisés avec un emploi du temps très strict qu’il faut respecter. Nous avons le devoir de faire des corvées quotidiennes comme allez chercher du bois et de l’eau potable en alternant avec des exercices de préparation militaire et évidement il y a aussi un temps pour s’amuser ou nous chantons et jouons aux cartes pour rompre la monotonie de cet emploi du temps quotidien. Ne t’inquiète pas maman je mange peu mais je me porte bien grâce aux ravitaillements. Nous pouvons compter sur le soutien de la population locale qui nous donne une quantité nécessaire de nourriture et sur les anglais qui nous envoies des armes par parachutes. Ici on me comprend, il y a des jeunes comme moi qui ont fui la STO nous sommes très solidaire, il y a un esprit de camaraderie que j’oublierais jamais ! Je suis sure que vous me comprenez maintenant, mais je vous ordonne de ne pas me rejoindre car vous risquerais de vous faire exécuter, je suis sincèrement désoler si je vous inflige des problèmes. Portez-vous bien,  je pense fort a vous, je vous embrasse.

A bientôt

Votre fils

PS- je ne suis pas en territoire Britanniques on se retrouvera

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