La Revolution De La Technologie De L'information

La Côte d’Ivoire réussit progressivement son entrée dans l’ère du numérique. Avec quelques écueils que le ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la communication, Koné Bruno, voudrait bien lever afin de voir éclore une ‘’véritable économie numérique’’.

Autrefois Nouvelles technologies et de l’information et de la communication (Ntic), aujourd’hui, technologies de l’information et de la communication (Tic) tout court, avec, toutefois, une adjonction de la poste, le département dirigé par l’ancien Directeur Général de Côte d’Ivoire Télécom est astreint à deux missions essentielles : assurer, d’une part,’’ la réhabilitation, le développement et la promotion du réseau postal, tout en le mettant en adéquation avec les besoins des ivoiriens’’, d’autre part ‘’définir une vision et une stratégie de développement durable du secteur des Tics et mettre en œuvre les programmes et actions pertinents pour son développement’’.

Même si l'usage des TIC n'est pas encore véritablement une réalité en Côte d'Ivoire, le système éducatif ivoirien a une expérience de la technologie éducative. En effet, la Côte d'Ivoire a été parmi les pays africains à expérimenter la télévision à l'école. Toutefois, comme on le constate l'usage des TIC à des fins éducatives n'est pas toujours traduit en actes. Pour nous cette situation est due à plusieurs facteurs dont l'absence d'une politique nationale d'implantation des TIC, des équipements inappropriés et une vision plus technique que pédagogique des TIC dans l'enseignement et la formation. Malgré cet état de fait, il existe ça et là des exemples d'usage des TIC en éducation et en formation. Alors que dans un passé très récent les TIC semblaient inaccessibles dans la société Ivoirienne, l'objectif de cet article est de rendre lisible l'évolution du statut des TIC dans l'éducation

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