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17 octobre 1961

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Par   •  25 Mai 2019  •  Cours  •  643 Mots (3 Pages)  •  867 Vues

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17 octobre 1961

C’est l’un des évènements les moins connues de la guerre d’Algérie. Il remonte au 17 octobre 1961 à paris. Une manifestation pacifique au départ, qpuis fortement réprimandé avec une incroyable violence. Le bilan officielle selon à Maurice Papon, préfet de police de Paris soutenue par de Gaulle et du premier ministre Michel Debré, est de 3 mort mais en réalité il y en a u environ 300 algérien tuée par balle, par noyade dans la saine, ou par négligence suite à des blessures grave.

Avant cette date qui, avec la manifestation de décembre 1960 à Alger, marquent une nouvelle expression massive de soutien au GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne). Les tensions été déjà palpable entre les membres de la police française et le FLN (front de libération nationale qui est l’organisation algérienne contre le colonialisme français). Cela a été du à cause de la guerre d’indépendance de l’Algérie qui avais débuté elle le 1er novembre 1954. Ce qui fessait que la répression du peuple algérien était devenu volontaire et, permanente.

Alors que des négociations allaient commencer entre la Frances et le GPRA concernant l’indépendance de l’Algérie. Le Général De Gaulle ordonna à Maurice Papon, d’empêcher, par tous les moyens, les nationalistes Algériens d’agir dans le but d’être en position de force lors des négociations. Donc les chefs du gouvernement (Michel Debré, son homme de main, Maurice Papon etc.) choisissent ce moment précis pour tenter de détruire l’organisation du FLN en France en lançant une série de mesures, de contrôles divers sur la population maghrébine qui fut de plus en plus harcelée et humiliée par la police. Le 5 octobre, Maurice Papon mis en place, avec l’appui du ministre de l’Intérieur, Roger Frey, un couvre-feu, fixé de 20h30 à 5h30, pour tous les « Français musulmans d’Algérie » de la région parisienne. Ce couvre-feu raciste criminalisait l’ensemble des Algériens, touchait particulièrement les militants nationalistes Algériens car le travail du FLN s’effectuait généralement le soir.

Malgré l’interdiction de la manifestation par le gouvernement, le FLN appela tous les Algériens de la région parisienne à venir manifester sans arme contre cette mesure. Et décida alors d’organiser une mobilisation sur trois jours. Le premier jour, les hommes, les femmes et les enfants devaient défiler dans les rues de Paris ; le deuxième jour, les femmes devaient manifester pour réclamer la libération de leur mari ou de leurs enfants, dont l’incarcération la veille était prévisible ; le troisième jour, les ouvriers et les commerçants Algériens devaient observer une grève générale de solidarité avec les manifestants et leurs familles.

Le 17 octobre à 20h30, heure à laquelle débutait le couvre-feu, la première étape de la mobilisation fut mise en œuvre : une grande manifestation non-violente fut organisée à Paris.

Les manifestants étaient environ 30 000 face a 7 000 policiers .De là Maurice Papon donna l’ordre d’intercepter tous les Algériens et de les empêcher par tous les moyens de participer à la manifestation. De nombreux Maghrébins furent frappés et emmenés dans des centres de détention ou internés dans des lieux réquisitionnés comme le Palais des Sports, le Stade de Coubertin, ou le Centre d’Identification

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