LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Francis Fukuyama: La Fin de l'Histoire

Dissertation : Francis Fukuyama: La Fin de l'Histoire. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  9 Avril 2018  •  Dissertation  •  957 Mots (4 Pages)  •  1 032 Vues

Page 1 sur 4

CM1 : LE ROI

21/09/2017

On pourrait penser que le roi de France dirige la France au XVIIIe siècle, cela ne signifie rien car les rois d'Europe n'ont pas tous les même pouvoir.

I-La nature du roi

A-Un État sans constitution

La France n'a pas eu de Constitution avant 1791, mais elle avait des lois fondamentales, certains se demandent d'ailleurs si elles sont comme une constitution. En effet elles était relatives à la constitution du pays et elles étaient au-dessus du roi, ce dernier ne peut pas les changer. La plus connue de ces lois est la loi salique ( loi qui oblige la transmission du pouvoir de manière héréditaire), ; il y a aussi la loi inaliénable du domaine royal ( un domaine du roi ne peut pas être céder, abandonner ou même vendu ). Si ces lois organisaient l’État, elles ne le constituaient pas totalement, donc elles ne constituaient pas une constitution car elles sont trop peu ( 6 ), elles tournent surtout autours de la loi salique, et ont été créé à différents moments. De plus elles ne pouvaient en aucun cas être modifiées alors qu'une Constitution peut être changé et dit les pouvoirs du chef pas comme ces lois à-propos du roi.

B- Les théories de l’État

Au XVIIIe siècles, certains ont essayé d'écrire des bouquins qui définissent la souveraineté : Bodin, Loyseau, Le Bret. De plus le souverain était le roi donc il était indépendant de toutes formes d'autorité quelconque, il n'a de compte à rendre à personne, il est même indépendant des institutions représentant l’État. Il n'a donc jamais besoins de soumettre son action à quelqu'un et personne n'a le droit de changer ces actions.

Absolue signifie délier, donc le roi ne se soumettait à aucune force terrestre ? Mais l'autorité supérieur au roi était l'autorité divine qui un jour le jugerait (droit divin).

C-La position de la monarchie

La monarchie avait accepté ces théories et se les est fait siennes, Louis XV et Louis XVI se sont donc mis d'accord sur le fait que ces théories soit le vrai de la monarchie. On ne connaît qu'une circonstance dans laquelle Louis XV a dû réaffirmer les théories de la monarchie : Discours de la Flagellation ; devant le parlement de Paris, il réprimande les parlementaires que c'est lui qui dirige le pouvoir législatif et qu'il n'a de compte à rendre à personne, et que c'est lui qui a la responsabilité pleine du royaume.

 II-Les pouvoirs du roi

A- Les pouvoirs du roi en pratique

Les théoriciens étaient d'accord pour dire que le roi pouvait faire et défaire des lois, faire la guerre et faire la paix, battre la monnaie, fixer sa valeur, il avait le pouvoir de lever l’impôt sur le territoire, et nommer les hauts fonctionnaires. Il cumulait donc les 3 grands pouvoir : exécutif, législatifs, judiciaire. Toute loi dans le royaume était donc d'origine royale, il est la source de toute autorité ( « au nom du roi... »), il a le pouvoir suprême : il rend lui-même la justice en son nom, et lorsqu'il jugeait lui-même il utilise la justice retenue ( retenue sur lui)

...

Télécharger au format  txt (5.6 Kb)   pdf (82.2 Kb)   docx (12.6 Kb)  
Voir 3 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com