La Migration

Près d’un milliard de personnes est aujourd’hui en mouvement dans le monde, seuls 3 % de la population globale franchit des frontières pour des raisons qui varient au rythme du monde qui bouge : les déplacés environnementaux croisent les retraités du Nord avides d’économies et de soleil quand les chercheurs d’emplois croisent les victimes de persécutions.

Un monde en mouvement.

Le monde bouge, même si l’essentiel de la population mondiale demeure sédentaire (on compte environ 3 % seulement de la planète en situation migratoire). Ces migrations, tout en se mondialisant, se sont aussi fortement régionalisées. Des systèmes migratoires régionaux se forment, engageant des complémentarités entre l’offre et la demande de main d’œuvre autour d’espaces délimité par les langues ou les cultures : le continent nord- américain, l’Amérique du Sud, l’Europe etc.

Beaucoup des migrants se dirigeant vers ces régions sont aussi originaires de celle-ci comme par exemple les Mexicains aux États-Unis, ou encore les Maghrébins et Turcs en Europe.

La migration rapporte 351 milliards de dollars annuels de transferts de fond, en gros trois fois l’aide publique au développement.

Beaucoup d’idée reçue dans le monde par la migration :

Comme par exemple : L’émigration nuit au développement des pays de départ.

L’article démontre cette idée reçue car si la population migrante ne dépasse pas le 15 à 20 % cella ne nuit en rien au pays de plus il démontre aussi que les migrants qualifiées ne fuient pas le pays, il change juste de zone pour pouvoir s’enrichir et acquérir de nouvelles compétences.

Ensuite la seconde idée est : Plus un pays se développe, moins c’est habitants partent.

Encore une idée reçu démontré par le document qu’il prouve que cela n’est pas forcément vrai en démontrant l’Italie l’Espagne la Grèce et le Portugal qui ont vu leurs flux migratoires augmenté au fur et à mesure que le pays se développé. Ces pays voient aujourd’hui affluer les immigres du Maghreb.

Et enfin la dernière idée reçue c’est : L’immigration coûte cher au pays d’accueil.

Les gens pensent que les immigrants sont responsables de la montée du chômage, quel engendre la baisse des salaires et grèverait des budgets sociaux de l’état.

Deux économistes ( Xavier Chojnicki et Lionel Ragot ) disent que l’immigration n’as peu d’effets sur les salaires et la courbe du chômage. En effet celle-ci n’augmente pas seulement le nombre de travailleurs, mais aussi le nombre de consommateurs de biens et services, ce qui contribue à créer de l’emploie. On s’aperçoit aussi que les immigrés payent en réalités plus d’impôts qu’ils reçoivent d’aides sociales (L’état a versé 47.9 milliards d’euros d’aide sociales et ont reçue 60.3 milliards d’euros.)

Soit plus de 12 milliards d’euros qui rentrent chaque année dans les caisses de l’état.

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