Composition Sur La Violence Des Guerres Mondiales
Compte Rendu : Composition Sur La Violence Des Guerres Mondiales. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jeremybavay • 12 Janvier 2015 • 1 193 Mots (5 Pages) • 1 187 Vues
Composition sur la violence des deux guerres mondiales:
Le XXème siècle marqua l’histoire humaine de guerres d’anéantissements. La première guerre mondiale, durant de 1914 jusqu’á 1918 et la seconde guerre mondiale de 1939 jusqu’á 1945, étaient des guerres totales, où l’économie des pays s’est transformée en un véritable mécanisme de guerre, mobilisant la majorité de la population tout en consacrant l’intégralité des ressources du pays dans un but d’annihiler le camp adverse. Pendant ces affrontements sanglants s’étalant sur de grandes fragments du globe, les idéologies des belligérants , caractérisés par un fort nationalisme dans la première guerre mondiale et par la propagande de valeurs radicales pendant la seconde guerre mondiale, se défient non seulement dans le but de vaincre l’ennemi mais aussi de l’anéantir et donc de faire triompher sa propre idéologie. De plus, ces guerres ont marqués l’humanité par l’ampleur extrême de la violence subis par les populations militaires ainsi que civiles. De ces faits, la brutalité est accentuée par des longues batailles comme celui de Verdun ou encore les génocides notamment des peuples arméniens, juifs et tziganes. En quoi peut-on dire que les deux guerres mondiales étaient des guerres de violence jamais vue auparavant ? Dans une première partie, nous aborderons l’expérience combattante des deux guerres. Dans une seconde partie nous allons étudier les violences subis par les populations civiles.
Pendant la première guerre mondiale, des grandes offensives ont lieux durant lesquelles les armées sont menées à mettre en œuvre une stratégie d’usure dans les tranchées visant à consacrer les ressources humaines et militaires excessivement dans un but d’annihiler l’ennemi. Sur le front occidental en 1917, en deux mois de batailles, l’initiative du chemin des Dames engendre alors la mort de 200.000 soldats français. La volonté de vouloir faire souffrir et anéantir l’ennemi se manifeste par le développement et l’innovation technologique de nouvelles armes comme les gaz de moutarde. Ces outils tuent l’adversaire en l’asphyxiant et en brulant ces poumons tout en le maintenant dans un état de souffrance. Malgré les efforts continuels des belligérants, les affrontements sont souvent longs et sacrifient un grand nombre de soldat, cependant démoralisant une faible partie de l’infanterie, qui, en réaction à ces échecs meurtriers inutiles, refusera de se sacrifier. 40.000 mutins de l’armée française opposent alors les ordres des officiers qui mènent une guerre de position meurtrière comme celui de Verdun. Par conséquent, le maréchal Pétain rétorquera à réprimer ces actes par des exécutions en dissuadant les autres combattants de suivre l’exemple des mutins. Suivant ces sévères punitions, des rotations et des permissions plus fréquents sont misent en place pour permettre aux soldats de se reposer, de se laver et donc de soutenir le morales collectifs des combattants.
La seconde guerre mondiale est mondiale car elle s’étale sur tous les continents du globe, et totale étant donné que c’est une guerre technique et industrielle caractérisés par le développement de chars et d'avions de combat. La blitzkrieg, c’est-à-dire le combat d’éclaire, permet l’expansionnisme agressif de l’armée allemande en Europe par l’utilisation de chars et d’avion qui bombardent les fronts en masses. La Luftwaffe bombarde alors intensivement la Grande- Bretagne de mai 1940 jusqu’á septembre 1941 dans le but d’affaiblir l’industrie du pays. Coventry et Londres étaient le plus sévèrement touchés par ces offensives aériennes. Les belligérants possèdent une idéologie souvent caractérisés de valeurs extrêmes, comme le nazisme allemand, le fascisme de Mussolini ou encore l’impérialisme japonais. Les populations des pays sont alors imbibées de ces violents pensées, moteurs de la guerre et des sociétés de l’époque. L’appartenance
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