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Juifs et tziganes en Touraine durant la Seconde Guerre Mondiale

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Par   •  8 Juin 2018  •  Dissertation  •  1 574 Mots (7 Pages)  •  795 Vues

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Juifs et tziganes en Touraine

 durant la Seconde Guerre Mondiale

Introduction :

        Pendant la Seconde Guerre Mondiale, sous l'occupation allemande la vie des juifs et des tziganes qui résidaient alors en Touraine fut complètement bouleversée. On peut donc se demander: « Quelle sort a ton réserver aux juifs et aux tziganes lors de la seconde guerre mondiale ? ». Afin de répondre à la problématique qui nous est posée nous allons dans un premier temps parler de la situation des juifs en Touraine durant la seconde guerre mondiale ensuite, des tziganes en Touraine puis pour terminer des camps d'internement en Indre-et-Loire.

        Durant la seconde guerre mondiale Paul-Louis Courier qui aujourd'hui est un lycée était une école primaire supérieure dans laquelle six jeunes élèves juifs furent arrêter par la police allemande et déportés vers des camps.

Afin de commémorer la mémoire de ces étudiants il est possible de trouver aujourd'hui dans le lycée un panneau sur lequel il est écrit le nom de ces différents élevés.

I-Les juifs en Touraine durant la seconde guerre mondiale

A-Le lycée Paul-Louis Courier à Tours :

Nom,

Prénom

Date et lieu de naissance ou age au moment de l'arrestation

Lieu de résidence au moment de l'arrestation

Activité

Date d'arrestation ou n° et date du convoi et lieu de déportation

Joseph Gerszonowicz

Né le 28 mai 1927 à Szerzecrow en Pologne (15ans)

Interné au camp de La Lande

Scolarisé au lycée Paul-Louis Courier

Convoi n°8 du 20 juillet 1942 (via Angers vers Auschwitz)

Roger Sobel

Né le 24 janvier  1928 à Metz en France (13ans)

Interné au camp de La Lande

Scolarisé au lycée Paul-Louis Courier

Convoi n°8 du 20 juillet 1942(via Angers vers Auschwitz)

Osaias Bienenstock

Né le 31 mars 1928 à Strasbourg en France (13ans)

Déplacé de Bordeaux au camps de La Lande

Scolarisé au lycée Paul-Louis Courier

Convoi n°31 du 11 septembre 1942 (via Drancy vers Auschwitz)

Elie Gattegno

Né le 10 mars 1924 à Bourges en France (18ans)

Rue Victor Hugo à Tours

Comptable

Convoi n°36 du 23 septembre 1942 (via Drancy vers Auschwitz)

David Pravidlo

Né le 13 décembre 1928 à Varsovie en Pologne (13ans)

Interné au camp de La Lande

Scolarisé au lycée Paul-Louis Courier

Convoi n°36 du 23 septembre 1942 (via Drancy vers Auschwitz)

Abraham Goldberg

Né le 1er janvier 1925 à Plock en Pologne (17ans)

13 rue de l'Hôpiteau à Tours

Ajusteur

Convoi n°42 du 6 novembre 1942 (via Drancy vers Auschwitz)

B-Les familles juives :

        En France durant la seconde guerre mondiale sous l'occupation allemande les personnes juives qui résidaient en Touraine étaient soumises à des règles comme celle qui les obligés a revêtir une étoile jaune ceci afin de les différencier des personnes non juives aux yeux de la population et plus particulièrement des polices nazis et parfois même français.Les lois nazis en vigueur empêcher les juifs de travailler, ils étaient donc obligeait d'effectuer des travaux  fastidieux à des heurs bien précise.

Ces lois excluait de nombreux droits chez les juifs comme celui d'acheter de la nourriture ou encore d'avoir une relation avec un allemand non juifs.

Les personnes juives étaient tourmentées, ils leur arrivaient fréquemment d’être arrêté par les polices et d’être enfermés en prison ou déporter vers  des camps d'exterminations.

Les résistants juifs  étaient arrêtés et torturer jusqu’à la mort.

la Gestapo ce chargé principalement de la déportation des familles juives par convoi collectif dans des camps comme celui de Drancy, de la Lande, de Dachau ou encore celui d’Auschwitz. A ce moment-là, les familles étaient séparées puis chacune des personnes finissait par être exécuté. Afin d’éviter d’être arrêté et déporté les juifs cachaient  leur identité et leur nationalité par peur d’être dénoncé. Ils se faisaient également faire de fausses cartes d'identité dans le but de pouvoir passer les frontières afin de quitter le pays.

C-La Shoah à Tours :

        Il existes différents lieux relatifs aux arrestations et déportation de juifs à Tours comme par exemple  situé au 37 rue parmentier la stèle des justes (les 42 justes étaient des personnes ayant côtoyé des juifs malgré la loi) ou encore  la synagogue datant de 1908 qui abritait en 1940 le parti politique français et qui depuis 2005 rend hommage aux 236 juifs faisant partie de la communauté de Tours arrêtes par la police allemande entre le 15 et le 16 juillet 1942, l’école Michelet rend également hommage aux personnes qui entre 1941 et 1943 y était enfermé lorsque cette dernière était encore une prison, la clinique Saint-Gatien ou le 23 septembre 1942 une infirmière, Léa Kerisit fut arrêter car, elle était associer a un groupe de secoure pour les juifs et  la rue de Hallebarbier a tours ou 30 personnes ont étaient arrête par les Allemands pour sabotage sont également des lieux de tours relatifs aux arrestations de juifs.

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