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Le roi et la révolution

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Par   •  12 Mai 2016  •  Dissertation  •  456 Mots (2 Pages)  •  824 Vues

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Bonin Simon 2°1

Histoire – Géographie

Le roi et la révolution :

I. Les contestations de l'absolutisme et les crises de la monarchie aux origines de la Révolution française (1787-1789)

1• Un contexte favorable : l'absolutisme contesté par les élites de France et dans ce monde :

- La France ans une monarchie absolue de droit divin : tous les pouvoirs sont concentrés entre les mains du roi qui tiens sont pouvoir de dieu.

- Les philosophes des lumières critiques la monarchie absolue : idées grotesques sur la religion, les libertés et les droit individuel, ainsi que la justice. Ces idées ne sont ressuent que par l'élite du peuple.

2• Une société en crise, un pouvoir en difficulté dut à sa faiblesse :

- Le roi Louis XVI tente des reformes mais ne les appliquent pas : les nobles veulent leur pouvoir, les bourgeois une modernisation du système politique et le tiers états de meilleurs condition de vie. Le clergé est partagé entre les nobles et le tiers états.

- Le budget de l'Etat est en énorme déficit et la société en crise : inégalité des naissance : Tiers états = développement du commerce mais a le même pouvoir politique que tout les tiers états. Pas d'impots sur le Clergé et la Noblesse.

3• La fin de l'ancien régime : le citoyen français.

- Réunion des états généraux du 5 mai 1789 : Pour résoudre les problème de finance du royaume. Les cahiers de doléance sont mis en place ce qui permet au citoyen d'exposer leur idées.

-Proclamation de l'assemblée national : Les députés du tiers états se révoltent le 17 juin 1789. Réunion du jeu de paume.

II. Naissance de la nation française et la fin de la Révolution

1• Fin de la monarchie absolue : les Parisiens se soulèvent et protègent les députés. Le 27 juin 1789 les trois ordres se réunissent et formes « l'assemblée national constituante », la souveraineté appartient a la nation et plus au peuple.

2• L'échec de la monarchie parlementaire (1790-92)

- Des réformes pour moderniser la France : séparations des pouvoir ente le roi et l'assemblée national. Pour rembourser les dettes, l’état confisque les biens du Clergé pour les revendent.

-Vie politique dans les ville augmentées : clubs politique créent à la manière des clubs parisiens.

-Différant partie politique : La gauche qui veux du progrès et la droite qui est plus conservatrice.

III La république marqué par la violence de la « Terreur » (1792-94)

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