Rome, Les Gaules Et La Bretagne
Note de Recherches : Rome, Les Gaules Et La Bretagne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar fjogws • 18 Novembre 2013 • 4 356 Mots (18 Pages) • 701 Vues
Rome, Les Gaules et la Bretagne
La première particularité est la mention explicite de Rome. Ce n'est pas un hasard. Ce n'est pas de traiter des sociétés des sociétés romano-provinciales. Question des rapports de ces sociétés avec le siège du pouvoir. Notion fondamentale d'Empire, de la structure d'un État particulier, L'Empire Romain. Histoire d'une partie de la méditerranée, et de la partie septentrionale. Il y a toujours ces interactions entre cette zone et celles plus au nord. Ces régions entrent en contact les unes avec les autres au départ par des relations commerciales. L'empire Romain n'a fait qu'augmenter ces relations. Doit prendre en compte toutes les relations entre les différentes régions.
Relations:
-Noués avant la conquête par Rome. Relations commerciales à la base. Il y avait des relations avant la conquête romaine et leur annexion à l'Empire. Les sociétés celtiques des 2e et 1er siècle avant JC. La majeure partie de la gaule a été conquis vers 50 avant JC.
-Découle du phénomène militaire de la conquête. Rome connaissait les gaulois avant, mais une fois entré en contact militairement avec les sociétés gauloises, les relations changent. Dure de 120 a 43 avant JC.
-Après la conquête. Une fois la mainmise militaire effective, il a fallu les administrer. Question du contrôle par Rome sur ces régions. Il faut étudier les modalités, et le fonctionnement de la structure de domination de l'Empire Romain. Il y a des structures particulières qui sont différentes des Empires modernes. Il y a différents niveaux de pouvoir qui se sont ajoutés les uns aux autres, et interpénétrés, au point de former l'ossature de l'Empire Romain. Pouvoir central qui se trouve à Rome. On ne peut pas parler de la Gaule sans parler de Rome. Car les décisions fondamentales se prennent à Rome. Finit par se confondre avec le pouvoir de l'Empereur (Passage de la République à l'Empire). Pouvoir provincial. C'est l'échelon immédiatement inférieur au pouvoir central lorsqu'on sort de l'Italie. Représenté par un gouverneur qui représentait l'empereur ou Rome. Mais aussi l'armée romaine. Pouvoir des communautés provinciales. Constituait les interlocuteurs privilégiés des autorités romaines identifiés essentiellement par des cités. Les particuliers considérés appartenant d'abord à une communauté.
Transformation des sociétés provinciales sous l'effet Romain. Est appelé société gallo-romaines. Sont spécifiques et originales vu qu'elles sont limités dans le temps et l'espace (la Gaule à l'époque Romaine). Combine le substrat gaulois à l'apport romain, notamment dans le cadre des cités. Rome a diffusé un modèle repris essentiellement dans tout l'Empire, mais adapté selon les régions. Les réalités antérieurs ont été pris en compte. La grande différence est lorsque Rome à conquis l'Orient. Elle y a rencontré des sociétés bien structurés par l'Hellénisme vis à vis duquel Rome à ressenti au départ une forme d'infériorité. La situation est complètement différente en Gaule. Il n'y a pas une civilisation aussi puissante que la civilisation grec. Il n'y a pas eu d'équivalent d'Alexandre le Grand par exemple. Ni l'organisation exceptionnelle de la Cité. C'est Rome qui installe le modèle de la Cité en Gaule. La domination romaine s'est marqué beaucoup plus nettement en occident. Le latin est devenu la langue de base en Gaule alors qu'en Orient les populations continuaient à parler grec. Le terme gallo-romain à été inventé par les historiens contemporains. C'est le terme le plus utilisé de double culture imposé par les romains, même si toute les sociétés se sont transformés au contact de Rome.
Romanisation: Tout les provinciaux ont fini par se sentir peu ou prou romain. Le but de l'évolution est de faire des gaulois des romains. Ces questions d'identités sont centrales et extrêmement délicates au vu des traces laissés par l'époque. Tout les provinciaux ont fini par devenir des citoyens romains d'un point de vue juridique. Une des modalités de la romanisation a été la diffusion de la citoyenneté romaine avec pour conséquence que les provinciaux ont fini par devenir des citoyens romains quelque soit leur lieu de vie dans l'Empire. C'est un mouvement de fond spécifique de Rome. C'est une générosité intéressé. En donnant la citoyenneté, on augmente l'allégeance de ces populations contrairement à l'avarice des grecs sur la citoyenneté. Le moment important est celle de l'édit de Caracalla qui accorde la citoyenneté romaine à toute personne libre vivant dans l'Empire Romain en 212.
Imperium: Dénomme l'Empire. Il y a 2 imperiums: imperium et Imperium.
1/ imperium est le pouvoir donné par les magistrats romains. Consul, préteur, Empereur ou Prince. Il quitte Rome, et lorsqu'ils accomplissent une action, il l'exerce par leur pouvoir nommé imperium.
2/ Imperium: Finit par désigner l'ensemble de l'espace où l'imperium des magistrats romains était effectif.
Ces 2 sens ont cohabité. Le pouvoir, puis l'espace. Ne s'est pas imposé d'emblée mais est le fruit d'une évolution. Au départ, le seul sens possible est celui de pouvoir. Le moment déterminant au cours duquel cette seconde signification s'impose est au principat d'Auguste entre 31 avant JC et 14.
Provincia: Il y a un double sens encore. Dans un premier temps, ce n'est pas un espace. C'est d'abord une mission confié à un magistrat romain. Par exemple, on donnera à l'époque une provincia contre une peuplade. C'est progressivement que le terme provincia a acquis la signification d'un territoire bien délimité. Cela cohabite. C'est lorsque la province devient une province fixe. C'est lorsque l'on envoi systématiquement un magistrat romain. L'exemple type est la Sicile. A partir de 227 avant JC, on envoi chaque année un magistrat en Sicile. C'est une mission précise sur un territoire déterminé.
Comment définir d'un point de vue territorial l'Imperium Romano?
C'est la somme de l'ensemble des provinces. Mais, au départ, ce que les romains appelaient comme cela, a été défini au 2ème siècle comme la sphère d'influence
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