L'ancrage républicain

I- Les nouvelles expressions de la souveraineté nationale :

le triomphe du parlementarisme :

—> monocamérisme ( mono = un seul et camériste = chambre ).

Pour les constituants en novembre 1848, constitution d’une seule chambre ( chambre «  une législative » ). La deuxième république est fondée sur le pouvoir supérieur d’une seule chambre. Sous la deuxième république, c’est une chambre unique qui l’emporte sur tout le reste. La troisième république est fondée sur le bi-camérisme ( ou bi-camérisme ) , c’est à dire sur l’existence de deux assemblées. Une assemblée imprévisible que les monarchiste veulent accompagner d’une instance bcp plus stable des membres plus conservateurs. Le sénat est crée pour canaliser. Dans ce système, la chambre des députés s’impose comme le lieu essentiel de la vie politique. Des députés qui sont marqué par l ‘influence de la haute bourgeoisie. En 1875, haute bourgeoisie qui est bientôt rejointe par la moyenne bourgeoisie souvent issu d’un cadre plus modeste, dans un cadre méritocatique , l’ensemble des mérites ( études, travail personnel ). Au tournant du siècles les professions les plus représenté à l’assemblé comme médecin, professeur, avocat. Clmenceau, Bert, Combers témoignent de cette attrait de la bourgeoisie pour le libéralisme républicain. A partir du début du 19ème siècles, on assiste à l’émergence d’une nouvelle génération d’homme politique. Nouvelle génération d’hommes, formé à l’école libre des sciences politique ( 1872 ).

B) le nouveau statut d’électeur :

Le sacre du citoyens. On peut dire que les instituions ont pendant longtemps limité le nombre des avis dans la vie politique. C’est l’impossibilité de diffuser une presse à bas cout, la III république transforme profondément dans la vie politique. Contenus très encadré. 9,7M en 1876 et 11,3 M de votants. Le vote constitue un temps fort. Le suffrage universel d’Alfred Bramtot, 1891. Rôle des syndicats légalité en 1884. CGT 1895 qui s’impose comme la première fédération en France On pourras évoquer des société d’enseignements, sportive, association générale comme Alsace lorraine ( 1871 ). Toutes ces sociétés, servent de terreaux. Sans surprise, les société sportive de tire et de gymnastique. Les société sportive sont proches de Gambetta. L’association générale d’Alsace lorraine soutient les républicains. On assiste à la fin du 19ème siècle, la naissance d’associations ouvrière, éducatives, sportives, qui permettent ensuite une structuration.

C) L’affirmation de l’opinion publique :

L’opinion publique est constamment martelé. On constate que hormis des moments extrêmement précis, il n’y a pas en France d’opinion publique unanime. Le gouvernement cherche à martelé l’opinion publique grâce à la presse. Grâce à la loi du 27 juillet 1881. La presse découvre une véritable indépendance vis à vis de l’Etat, qui s’impose comme le petit journal qui coute 5 centimes dépassant le millions d’exemplaire quotidien en 1900. La petite république française ( adversaire de petit journal ) en 1876. Dionys ordinaire principale rédacteur de la petite république. Figaro pour la droite conservatrice, l’action française pour l’extrême droite, l’humanité = socialiste , puis diffusion des journaux locaux. La puissance de la presse existe et s’est imposée lors des grandes crises politique.

II- Les grandes lois républicaines, l’exemple de la politique scolaire :

L’éducation fut entre 1879 et 1886, l’objet d’une législation qui témoigne d’une loi républicaine qui témoignent d’un certain système, d’une réelle philosophie politique.

A- L’unité de la nation :

Congrégation se l’enseignement, soustraire la jeunesse à l’influence de l’Église, inculqué un patriotisme blessée qui est au coeur de toutes les institutions, l’armée mais aussi l’école, un patriotisme qui est le ferment d’unité pour les années en deuils. Préparé la patrie à la revanche dans les années 1880. C’est à l’école que se décide les victoires ou les défaites de demain et non plus à l’église qui est jugé militante et démoralisante. Il s’agit donc d’entreprendre une grande réforme intellectuelle et morale. Enfin, il s’agit de refonder l’unité de la nation autour d’un spirituel républicain. Il s’agit de reconstituer une morale, qui ne soit plus de discorde mais positive, laïque et républicaine ⇾ positivisme (=qui se veut être une religion laïque). Désormais la religion n’est plus enseigné au profit de la moral et du civisme. Associer patriotisme et vertus laïque qui est le principale concepteur. Ernest Lavisse : « si l’écolier ne devient pas un citoyens pénétrer de ses devoir et un soldat qui aime son fulsil, l’instituteur aura perdu son temps ». Le tour de la France par deux enfants , G.Bruno : 1877—> 1901. 6m de français. Tout une génération on appris a lire dans cet ouvrage. Cette histoire raconte le voyage de deux jeunes orphelins originaire de Moselle.

B- Le développement de l’école primaire :

Hussards noirs- Charles Péguy

Expression dossard noirs

Le fait que Pégy utilise un terme militaire n’est pas anodin

Trois mesures essentielles marque le dév de cette école primaires. Ce sont les lois de Jules Ferry «  une école gratuit », la loi du 16 juin 1881, celle du 28 mars 1882 = obligation, la loi sur la laïcité du 28 mars 1882. Laïcité des corps enseignant c’est 1886

Ces mesures mettent en avant le droit d’y répondre. En classe, le travail des petits Geoffroy, 1889.

C- une nouvelle culture républicaine :

L’histoire, la géographie, la gymnastique sont inclut à l’école

L’histoire enseigne les grandes figures de la nation comme Hugo, Pasteur, Paul Bert, Janne d’arc ….des héros exemplaires.

La géographie leur permet d’acquérir une parfaite connaissance du territoire

La gymnastique est rendue obligatoire en 1880, les programmes de l’école primaires prévoient une

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