Nelson Mendela
Commentaire de texte : Nelson Mendela. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar wade97 • 11 Avril 2015 • Commentaire de texte • 336 Mots (2 Pages) • 640 Vues
LI
C’est notre erreur de ne voir la mort que devant nous : en grande partie déjà on l’a laissée derrière ; tout l’espace franchi est à elle.
Tu dépendras moins de demain, si tu t’assures bien d’aujourd’hui.
Tandis qu’on l’ajourne, la vie passe
Ménager le fond du vase, c’est s’y prendre tard. Car la partie qui reste la dernière est non-seulement la moindre, mais la pire.
LII
Ce n’est point d’avoir peu, c’est de désirer plus, qu’on est pauvre.
Qu’importe combien cet homme a dans ses coffres, combien dans ses greniers, ce qu’il
engraisse de troupeaux, ce qu’il touche d’intérêts, s’il dévore en espoir le bien d’autrui,
s’il suppute non ce qu’il a acquis, mais ce qu’il voudrait acquérir ! « Quelle est la
mesure de la richesse ? » diras-tu. D’abord le nécessaire, ensuite ce dont on se contente.
LIV
La possession ne plaît qu’autant qu’on s’est préparé d’avance à la perte.
Du jour où tu es né, c’est à la mort que tu marches.
LV
Que rien dans ton extérieur ou ton genre de vie n’appelle sur toi les yeux.
Si l’on entre chez nous, que l’admiration soit plutôt pour le maître que pour les meubles.
Tu cesseras de craindre, si tu as cessé d’espérer.
L’animal voit le danger et le fuit ; le danger s’éloigne, sa sécurité renaît : nous, l’avenir nous torture en même temps que le passé.
Ce qu’a fait le hasard pour toi, n’est pas à toi.
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.
Si vous voulez que l'on garde votre secret, le plus sûr est de le garder vous-même.
Tu cesseras d'avoir peur quand tu cesseras d'espérer, car l'espoir est toujours accompagné de peur.
Nous avons les défauts d'autrui dans l'oeil et les nôtres dans le dos.
Commence déjà à être l'ami de toi-même. Tu ne seras jamais seul.
Toute la vie n’est qu’un voyage vers la mort
La plus grande partie de la vie passe à mal faire, une grande partie à ne rien faire, toute la vie à faire autre chose que ce que l'on devrait.
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