Mourir à Verdun
Commentaire d'oeuvre : Mourir à Verdun. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar RQJFTG • 29 Mars 2015 • Commentaire d'oeuvre • 1 048 Mots (5 Pages) • 718 Vues
La bataille de Verdun est une des batailles les plus importantes durant la première guerre mondiale. Elle s'est déroulée du 21 février 1916 à 19 décembre 1916, pratiquement mois de carnage est d'enfer. Cette guerre de tranchées a causé plus de 300 000 morts et disparus ainsi que 400 000 blessés, allemands et français confondus.
C'est pourquoi on peut se demander comment ce massacre a-t-il été possible, et pourquoi les soldats ont t-ils continué à se battre malgré l'atrocité qu'ils avaient enduré.
En premier lieu, nous allons voir la bataille en elle même et les causes de cette bataille ensuite les conditions de vie des soldats des tranchées, puis quels moyens leur faisait garder espoir et les poussaient à se battre.
La bataille de Verdun qui oppose les soldats allemands contre les soldats français, a été déclenché par le général Erich von Falkenhayn, le commandant en chef de l'armée allemande. Il avait l’intention de « saigner à blanc l'armée française ». Cette bataille est la plus longue de la première guerre mondiale et elle fait parti des batailles les plus dévastatrices de l'histoire de la guerre. Verdun fit le lieu, ou se livrait une bataille monstrueusement atroce pour ces soldats, bien que ce soit allemands ou français. Au final, Verdun fut une victoire pour la France.
Ce fut une bataille presque obligatoire pendant la première guerre mondiale. Verdun était une ville stratégique, surtout pour les allemands, car cela leur permettaient d'attaquer sur 3 fronts et cette ville était placée non loin des usines d'obus et des voies ferrés et Verdun n'obligeait pas les allemands à trop déplacer leurs troupes. Le but de l'armée allemande était une guerre d’usure. Mais les soldats français ont pus continuer à se battre grâce au Général Pétain qui décida d'utiliser la voie sacrée. Lequel était le seul moyen possible de continuer à déplacer des troupes et permettre le ravitaillement des soldats.
Durant la bataille, un nuage de feu et de gaz toxiques s’abattait. L'armée allemande détenaient plus de 1,2 millions de canon et les fantassins étaient équipés de lance flammes. Suite aux gazes toxiques, des masques à gaz étaient utilisée par les soldats français. Énormément d'obus ont été lancés à partir des deux fronts, et les ils possédaient tout les deux des armes à feu. Les soldats se réfugient dans les tranchées creusées dans la terre, ce qui leur permet d’être protégés des tirs. Au dessus de ces tranchées il y avait d'installé des barbelés ainsi que devant les tranchées pour éviter le passage de l’ennemi.
Pendant cette bataille, chaque sens des soldats rentraient en jeu. En effet les tranchées de première ligne n’étaient pas nettoyées, les soldats étaient entourés de boue, d'ossements, de crânes, de cadavres, déterrés par les explosion d'obus. L'odeur qui se dégageait des restes de soldats était pestilentiels. Les soldats passaient leur temps à piétiner des parties de corps humains et des cadavres. La phrase « Les vivants sont sous terre et les morts sur la terre » écrit dans une lettre par un poilu, représente bien la situation visuelle car quand les soldats regardaient le champs de bataille tous ceux qu'ils pouvaient apercevoir étaient des morts.
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