Composition de Géographie

DM Géographie

        Nous avons à notre disposition deux documents. Tout d'abord, nous avons un graphique, nommé « Taux de couverture du réseau de téléphonie mobile en France », provenant  de l' « Autorité de régulation des communications électroniques et des postes » datant de 2014. Ensuite, nous avons un graphique, nommé « Population disposant d'une connexion Internet à domicile » qui vient de « Credoc », de décembre 2013. Ces deux documents nous parlent du même thème, qui est le numérique en France.  Nous allons tout d'abord voir le développement du réseau de télécommunication français, ensuite les différentes inégalités d'accès à la mobilité numérique et nous finirons par les enjeux liés au développement du numérique en France.

        Le taux de couverture du réseau de téléphonie mobile est différente dans chaque partie de la France. La France est constituée de trois zones différentes, nous avons les zones blanches, ce sont des zones non couvertes, ensuite les zones grises, qui sont des zones couvertes par un ou deux opérateurs, et enfin les zones noires, zones couvertes par tout les opérateur. La « France Métropolitaine » est donc constituée de ces trois zones, cela veut dire qu'il y a des zones qui sont plus faible que d'autre en téléphonie mobile car par exemple les zone blanche, sont des zones les moins densément peuplées, pour lesquels les opérateurs n'ont pas d'intérêt à investir dans les équipements nécessaires, car ils ne peuvent pas espérer une exploitation rentable. C'est la dimension territoriale de la fracture numérique. En d'autre terme ces opérateurs préfèrent les endroits où la population est la plus haute, donc les « zones noires ». Il y a  98,75% de la population en France métropolitaine qui utilisent des opérateurs, c'est donc beaucoup rentable pour les opérateurs de s'implanter là-bas. Le développement de ces réseaux ne se fait que dans les zones noires, et grises car la population est élevée. Paris n'est composé que seulement d'une seule zone, qui est la noire, car cela veut dire que toute cette zone recouvre Paris donc pas besoin d'en avoir d'autre et aussi cela veut dire que la population est bien répartie dans Paris. Dans le document deux, nous pouvons voir qu'il y a eu une évolution de 2003 à 2013. Nous voyons que chaque population a augmenté au fil des années car en 2003 il y avait seulement 31% de la population qui avait accès à internet, et ensuite en 2013, la population à triplé c'est à dire qu'elle est arrivée à 81%. Petit à petit l'accès à internet pour les habitants est devenu favorable et plus facile.

        Les inégalité d'accès au numérique est une inégalité de couverture entre territoires, des problèmes liés au coût de ces technologies et l’usage des instruments nécessaires pour y accéder, qui concernent en particulier les personnes en situation de pauvreté et d’exclusion. En zone blanche, il y a peu d'habitant donc ces personnes ont un accès à internet très faible, ou n'ont même rien du tout. La pauvreté est un des enjeux les plus important, car qui dit pauvreté dit peu d'argent, ils n'ont pas assez d'argent pour se payer un opérateur, ou même se payer internet, un téléphone, et de par leur fragilité socio-économique ou leur trajectoire de vie, sont exclus de tout un pan du débat démocratique par l’inaccessibilité de l’information publique ou par l’insuffisante maîtrise des compétences qui permettent d’y accéder.

...