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Abricots valaisanne

Fiche de lecture : Abricots valaisanne. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  6 Mars 2017  •  Fiche de lecture  •  1 078 Mots (5 Pages)  •  766 Vues

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TP : Agriculture  valaisanne

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Jonathan Bruttin

IE 2A


Table des matières

L’agriculture valaisanne        3

Le secteur viticole        3

L’agritourisme        4

Les abricots        4

Corrections du Rhône        5

10 questions        6

Bilan personnel        7

Référence        7


  1. L’agriculture valaisanne

Depuis que le Valais est entré dans la Confédération Helvétique jusqu’à nos jours il a toujours était un canton avec un esprit paysan. Même si avec le temps il a vécu de profondes mutations. Il y a 200 ans presque toute la population du Valais était agriculteurs. Les gens devaient produire ces aliments pour se nourrir. Mais cela ne suffisait pas à nourrir tous les valaisans et une pénurie alimentaire touche le Valais en 1830.

Avant 1863 la moitié du Valais n’est qu’un marécage et les crues du Rhône détruisent le travail des agriculteurs. C’est à cette année-là que la première correction du Rhône commença et elle durera 20 ans. Pour développer l’agriculture dans la plaine et pour augmenter le nombre de terrains de constructions des efforts ont était faits et les zones marécageuses ont était nettoyée.

Au milieu du 20e siècle le secteur primaire subit de grand changement avec la mécanisation ce qui détruit les exploitations de taille moyenne. Les agriculteurs font un travail d’intérêt général en maintenant le paysage de montagne c’est pour cela qu’il compte sur l’aide fédérale.

  1. Le secteur viticole

Le valais est le canton suisse le plus producteur de vins. Il produit 40% des vins helvétiques sur plus de 5000 ha de vigne. Le Valais valorise ces cépages locaux dans le but de distribuer des produits originaux et d’excellence. Le Fendant produit avec le chasselas et la Dôle est un mariage de pinot noir et de gamay. Ces trois cépages (chasselas pinot noir et gamay) représentent le 70% de la superficie de vignoble valaisan. Mais il y a aussi d’autres variétés locales telles que l’arvine, amigne, humagne, rèze, et cornalin.

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  1. L’agritourisme

En février 2007 la loi cantonale sur l’agriculture et le développement rural a mis en place en Valais une véritable politique en faveur du développement de l’espace rural. Elle comporte aussi un soutien et de l’aide au niveau financement de la promotion des infrastructures d’exploitation et de l’agritourisme.

  1. Les abricots

Quand on parle d’abricots en Suisse on pense tout de suite au Valais. En 200 ans ce fruits et devenu un des symboles valaisan tout autant que les traditionnelles combats de Reines, le Fendant ou le pain de seigle. C’est vrai que grâce aux conditions climatiques et au sol propice, la région est parfaite pour l’abricot.

Les premières mentions d’abricots en Valais apparaissent en 1812 et c’est à peu près en même temps que le Valais découvre le Luizet. Il doit son nom à l’abbé Gabriel Luizet. Cette variété d’abricots devient la favorite du canton jusqu’aux années 1980. Ce botaniste l’a créé Ecully dans la région de Lyon. Ce fruit et très parfumé et il est idéal pour l’Abricotine AOP qui est composée de 90% de Luizet qui donne à cette Eau-de-vie ce parfum qui lui est propre.


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  1. Corrections du Rhône

Le Rhône constituait une menace car le fleuve sort souvent de son lit et détruit les agricultures. L’inondation de 1860 a fait de tels dégâts que le Conseil d’état demande une subvention de la confédération. Au début des années 1860 des travaux de réaffectation s’effectue en plusieurs étapes sur le Rhône. Lors de la première correction du Rhône le système d’épis qui a était développé par l’ingénieur Ignace Venetz. Le niveau a aussi était réduit et d’un nettoyage. La premier correction à rectifié le cours du Rhône mais les travaux n’ont pas résolu les problèmes des eaux résiduelles. Celles-ci ne peuvent s’écouler et il faut donc augmenter les canaux de drainage pour éliminer cette zone marécageuse. Cette première correction du Rhône a couté plus de 10 de francs. La confédération participe de un tiers et le reste doit donc être financer par les communes riveraines au fleuve. Le canton paie les frais liés aux routes principales et aux ponts. Les communes vont payer les frais d’entretien jusqu’en 1903.

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