Étude de l'article Au yémen, La Vie Au Compte Gouttes de Gilles Paris
Dissertation : Étude de l'article Au yémen, La Vie Au Compte Gouttes de Gilles Paris. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Anais1999 • 19 Mai 2015 • 314 Mots (2 Pages) • 2 278 Vues
Le document est un extrait d'article nommé « Au Yémen, la vie au compte-gouttes » écrit par le journaliste français Gilles Paris. Cet article a été publié dans le quotidien français Le Monde, le 21 janvier 2010. Ce document nous parle de l'eau, plus précisément l'insuffisance au Yémen, pays au Sud Ouest de la péninsule arabique désertique. Il fait parti des régions semi-arides et arides de la planète.
Nous allons analyser les techniques de mobilisation de l'eau afin de comprendre les facteurs à l'origine de l'augmentation importante de son utilisation au Yémen et voir enfin quelles tensions cela peut causer.
Dans un premier temps l'article met en avant différentes techniques de mobilisation d'eau . Il nous montre en effet l’insuffisance de cette ressource épuisable mais surtout incontournable.
Les habitants disposent « en moyenne de 120 m cube d'eau par an » contre « 1500 m cube » pour la moyenne mondiale. Il y a beaucoup de techniques de mobilisation de la ressource. Il existe des techniques anciennes comme les « citernes » qui permettent de stocker l'eau de pluie pour les cultures ou des puits. Ces derniers, plus modernes,sont des « puits qui vont même jusqu'à 1 km » ce qui nous montres bien le manque de cette ressource car nous nous mettons a pomper dans les nappes fossiles car l'eau est devenue quasi inexistante dans les nappes phréatique. Dans le futur, d'autres mobilisations sont envisagées comme des « systèmes de goutte a goutte » ou « l'acheminement de l'eau […] dans des conduites » qui permet d'éviter le gaspillage.
D'autre par il met en avant l'augmentation de la pression sur la ressource. L'eau est de plus en plus rare le texte nous dit même qu'il risque d'avoir des guerre de l'eau opposant les campagnes au ville et les région les plus arrosé au plus sèche. Les facteur de ces tensions sont tout d'abord le manque et sa répartition inégale.
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