Travail noté de français

Première partie : Mise en situation

Le livre maudit

Il l’avait  prévenue pour le livre. Maintenant, il était trop tard.  Après que la jeune fille  avait ouvert le livre, elle avait senti quelque chose l’attirer à l’intérieur, elle a pensé qu’elle était juste délirante et avait continué à lire et à lire  jusqu’à ce qu’elle se retrouve emprisonnée dans le livre.

Elle a regardé autour d’elle, incroyable ! Tous les personnages du livre sont maintenant juste devant ses yeux : ils parlent, bougent, touchent…

Sont-ils de vrais personnages ? Ou la jeune fille les imagine-t-elle tellement qu’elle mélange deux mondes parallèles?

Stupéfaite, elle essayait de comprendre ce qui se passait autour d’elle, elle entendit la même voix qui l’avait prévenue du livre, disant :

• Bienvenue ! Ici, le monde emprisonné à jamais dans le livre maudit !

Deuxième partie : Question de réflexion

1. Le cube de l’écriture (DIEPE, 1995) montre qu’écrire est un acte simple et organisé, mais en réalité, c’est comme si on me demandait de préparer une recette dont il m’est difficile d’identifier les ingrédients. Les idées étaient confuses au début, et j’ai dû décider (planifier) par quoi commencer pour éviter de me perdre et de perdre du temps. Ici, j’ai  pensé à relier l’image et les deux phrases, ce qui m’a aidé à trouver l’idée initiale, puis j’ai commencé la rédaction en arrangeant les idées, en les changeant ou en ajoutant de nouvelles idées et en les réorganisant (réécrivant).Quand j’ai fini mon produit, j’ai vérifié (révisé) s’il fallait ajouter ou supprimer quelque chose pour respecter la taille du texte, j’ai corrigé les erreurs et  j’ai fait attention aux signes de ponctuation (j’ai évalué ma démarche).
2.  Le type de mon texte est narratif : il contient une structure dominante (raconte des événements imaginaires) et les éléments caractérisant ce type (la situation initiale, le nœud de l’action et la situation finale). Par rapport au genre, mon produit est une légende puisqu’il mélange deux parties : une réelle et l’autre, fictive.
3. D’après moi, l’acte d’écrire nécessite la lecture de nombreux livres variés : plus une personne lit, plus ses ressources linguistiques et cognitives sont riches, son style s’améliore et elle  n’a plus de difficultés à écrire. Lors de la rédaction, les grandes lignes doivent être écrites, elles aident à mieux comprendre et à initier la tâche. Sans oublier l’importance de la réécriture du produit : elle permet de réorganiser les idées, de découvrir les erreurs et de rendre le texte plus cohérent. Après avoir terminé son produit, le scripteur peut le lire à une autre personne; il est utile de le critiquer. Sinon, de le lire à haute voix peut suffire à l’objectif.  
4. Les difficultés que j’ai rencontrées en cours de la rédaction étaient surtout au début; par où commencer ma  rédaction ? Quel est le sujet à choisir ? Quel est le style le plus approprié ? Comment mettre en ordre les événements et organiser les idées ? Comment gérer le temps et terminer avant le délai ? Mon produit sera-t-il à la hauteur ?...
5. J’ai commencé à écrire tout ce qui me venait à l’esprit. Bien que les idées étaient incomplètes et confuses au début, elles ont commencé à devenir plus claires. J’ai lu mon produit initial à plusieurs reprises afin de modifier et de corriger mon texte. Quant à la gestion du temps, j’ai déterminé un délai.  Pour le style, j’ai adopté la simplicité et la clarté pour faire parvenir l’idée directement au lecteur.
6. À première vue, cette mise en situation va mélanger deux mondes différents : un vrai monde où vit la jeune fille, et un autre monde fictif qui émane de l’intérieur du livre à travers les feuilles tandis que la jeune fille est dans un sommeil profond.

Ces deux mondes vont se mélanger via le livre qui joue le rôle  d’intermédiaire entre l’imaginaire (les feuilles) et la réalité (la jeune fille touchant le livre).

L’autre chose qui me fait réfléchir à la nature de l’acte d’écriture, c’est la signification des deux phrases où la deuxième phrase confirme que la jeune fille avait déjà commis un acte qui était interdit implicitement dans la première phrase. Cet acte d’après l’image c’est : toucher le livre, l’ouvrir ou le lire.

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