Fiche sur l'Etranger de Camus

L’étranger (1942)

de Albert Camus

➢L’œuvre :

Titre : L’étranger

Année de parution : 1942

Mouvement : Absurde

Grands événements contemporains qui illustrent le contexte de

l’œuvre : Le récit prend place dans une Algérie divisée, colonie française

depuis le XIXe siècle. Les Français détiennent le pouvoir économique et

culturel. Dans le récit, seuls les Européens sont nommés. La volonté de

sensibiliser de manière subtile le lecteur au climat qui règne alors est

donc bien présente.

➢L’auteur :

Ce qu’il faut retenir de cet auteur : Le 7 novembre 1913, Albert

Camus naît à Mondovi en Algérie. C’est un grand écrivain et philosophe

français. Son œuvre est complète et composée de poèmes, pièces de

théâtre, romans, nouvelles et essais. Il est récompensé le Prix Nobel de

littérature en 1957. Il décède dans un accident de la route 4 janvier 1960.

Aspects de sa vie, événements qui l’on marqué : en 1932, ses

premières publications sont publiés dans la revueSud. En 1938, il fonde le

journal Alger. C’est le début des années de journalisme de Camus. En

1940, il arrive en France, et se marie une seconde fois avec Francine

Fauve. En 1941, il entre dans la Résistance. Entre mai-juin 1942, il publie

L’étranger cher Gallimard. En juin 1943, il fait la rencontre de Sartre. En

août 1944, il devient rédacteur en chef du journal Combat et publie alors

La peste. En 1952, une rupture fracassante se fera avec Sartre à la suite

de la publication de L’homme révolté, qui reçoit une dure critique dans Les

temps modernes. Entre mai 1955 – février 1956, il es éditorialiste au

magazine L’express. Et enfin en 10 décembre 1957, il reçoit le prix Nobel

de littérature à Stockholm.

Ses idéaux, ses combats : Albert Camus utilise son œuvre pour

promouvoir ses idées et opinions sur le communisme, la guerre, la bombe

atomique, le colonialisme, l’Allemagne fasciste et le stalinisme.

Ses articles montrent son implication dans les débats d’après-guerre :

échanges avec Mauriac à propos de justice et liberté, ou méditation sur les

rapports entre morale et politique. Dans les six derniers articles publiés

dans dans Combat fin 1946, intitulés, Ni victimes ni bourreaux, il aborde

le problème

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