Extrait du registre « Qui Est La Fouine »

SEMESTRE 1, vol I

Chapitre 4: Tragédie

*Extrait du registre « Qui Est La Fouine »

Quand je vous vois j’observe la tristesse. Jeunes hommes à qui la vie n’apporte que des soucis, je voudrais vous dire subissez. Il n’y a rien de plus injuste que se sentiment qui courbe les échines, nous laissant à nous et à notre pauvre cerveau les traces de ces gouttes d’eau salées. Et à ces événements qui se référaient à des aléas, mettons se désordre au doux nom de tragédie.

Regardez, il est treize heures, l’après-midi se fait. Ils entrent tous dans cette belle maison et moi je suis là installé avec Mathéo. Lui se tient dans sa cuisine avec une tasse buvant du café. A l’entrée des autres il se positionne au niveau de sont paillasson et les salues. Je reste assis, je me fais désiré. Ils viennent à mon chevet, ils me tieks, ils m’embrassent, tout dépend de la forme de politesse. Ils s’installent, certains sur le même canapé que moi, et Mathéo, chef du domaine emploie la parole.

« On commence par quoi ? » dit il, impatient d’apprendre à nous connaître. On se regarde dans les yeux et la je comprends. Je comprends ma place, je comprends leur position. Ils ne sont pas simplement assis sur se canapé mais observent attentivement les mouvements de chacun. Par quoi allons nous commencer disait-il. Ils ont déjà fini puis que ses regard lourds de mépris sur se canapé se levait vers le ciel. Principalement Azalée. Il était beau, magnifique. Son jugement revenait à une flèche lancé par cupidon ou bien une punition d’Aphrodite. Sa malice se cachait dans son visage d’ange, mais que pouvais je reprocher à un ange ? Alors je regarde Léon. Il était timide et ne tenait pas le combat du regard. Il s’empressa de regarder le plafond. Johan se fit discret. Son insolence n’a pas frappé mon indulgence mais j’en suis sûr, il m’a observé lui aussi.

Par quoi allons nous commencer, difficile à répondre car dans se domaine bourgeois se cachait une bataille pour savoir qui est l’ennemie. Une guerre froide qui allait éclaté au moindre signe suspect. Nous sommes des hommes reclus qui se battent pour obtenir la reconnaissance. Et vous voulais que ça se passe bien ? Laissez moi rire.

On a un long travail à opérer. Pour nous soulager, Mathéo va dans la cuisine. Il prend quatre tasses et les remplis de thé ou de café selon les préférés. Il est doux, soigneux du matériel qu’il utilise. Il a ensuite apporté ces tasses à cette table en bois sans renverser une goûte. Nous voilà réunis, parlons. Azalée au bout du canap engage la discussion. Accoudé sur le meuble, tête abattu ne tenant qu’à son poing, il n’a pas l’air sérieux. Il s’en fout. Il ne veut pas discuter mais il en ai bien obliger. Je parle moi aussi pour soutenir son œuvre. Les autres aussi s’entraînent dans la discussion. Et le temps passe. Et nous procrastinons car il treize heure quarante et aucun compte rendu de l’exposé.

On se dit que « ça va » car après tout, en se samedi, nous avons un temps infini ! Et pourtant plus les tik se faisait, plus les tac nous cognait. Alors je me lève et prend la parole, alors qu’ils glandent sur le tel,

-Bougez

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