En quoi l’auto éloge de Matamore, fait de lui le miroir de l’illusion ?
Dissertation : En quoi l’auto éloge de Matamore, fait de lui le miroir de l’illusion ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar MaMailysmailys • 28 Mars 2023 • Dissertation • 468 Mots (2 Pages) • 341 Vues
Analyse linéaire, matamore
Pierre corneille né le 6 juin 1606, à Rouen est un dramaturge et poète français du XVII siècle. Il appartient au mouvement du baroque et du classicisme. Il va utiliser dans ses romans, plusieurs genres artistiques, comme la tragi-comédie, la tragédie et la comédie. Il écrira l’illusion comique, comique en 1636, une tragi-comédie, pièce de théâtre, divisé en cinq actes. Matamore est une comédie sous forme de longue tirade et est représenté durant les trois derniers actes. Matamore est un général d’armée, jeune homme fougueux qui se surestime, il est suivi dans l’extrait par Clindor qui lui connait la vérité.
Il conviendra de se demander en quoi l’auto éloge de Matamore, fait de lui le miroir de l’illusion ?
Dans une première partie, nous étudierons Matamore comme un guerrier invincible et séducteur et dans une deuxième partie Matamore sous la forme d’un séducteur sans frontières et nous concluerons.
Première partie:
La gradation à la ligne 1 “ha poltron, ha traitre” à l’égard de Clindor nous indique la plainte de Matamore, avec des termes injurieux. Il est indigné et désire être menaçant avec les allitération en r “poltron, traitre, leur mort” Avec la question rhétorique à la ligne 2, on apprend de Matamore que c’est un personnage sur de lui, confiant. La métonymie “ce bras” désigne le courage,car il tient l’épée et désire être le seul chevalier. L’hyperbole à la ligne 3 nous démontre qu’il est un personnage imbus de lui même et nous le prouve à nouveau avec l’accumulation à la ligne 4.
L’utilisation de l’adjectif possessif “mon” est utilisé à plusieurs reprises dans le texte. ?
Nous retrouvons l’hyperbole à la ligne 7. La gradation des verbes à l’indicatif”je dépeuple”, je couche, je réduis montre son éloge de lui même et sonne comme un mensonge. Il réutilise ala ligne 9 les adjectifs possesifs mes, mon., cette métonymie nous montre qu’il se compare à Zeus, il se place au dessus du gouverneur absolu. Il continue son éloge avec L’hyperbole à la ligne 10 en disant explicitement qu’il pourait de lui-même battre une armée entière. ici le je estplus fort que le plurie qui est totalement disproprortionné.
“ET tu m’oses” au vers 12 démontre que la réaction de Clindor est pour Matamore éxagér et proue son indignation justifié par le seul fait qu’il peut battre à lui tout seul une armée et Zus, lui -même.
La périphrase “second mars” s’oppose à Veillaque, Clindor est condiré comme un homme méprisable. L’hyperbole à la ligne 14 montre encore cette disproportion à son égard.
Je songe à ma maitresse nous attire sur un autre trait de caractère de Matamore.
L’hyperbole est le procédé principal de cette première partie. Elle est utilisé pour montrer la vantardise, la surestimation de Vatamore qui à travers ses paroles, fait l’éloge de ses mensonges se perd dans ceux ci.
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