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Méthodologie de la fiche d'arrêt

Fiche : Méthodologie de la fiche d'arrêt. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  5 Mars 2020  •  Fiche  •  824 Mots (4 Pages)  •  400 Vues

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Compte rendu de Deux Ethnologues dans le Métro

Auteurs : Jean-Charles Depaule, né en 1945 à Toulon, qui est directeur de recherche au CNRS Directeur du Laboratoire d’Anthropologie Urbaine de 2004 à 2009. CNRS Ivry sur Seine. Et Yann Philippe Tastevin, anthropologue, Chercheur au CNRS, LISST Toulouse (Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires), Unité Mixte de Recherche en Sciences Humaines et Sociales à large couverture thématique qui relève des sections 36, 38 et 39 du CNRS).

Article : Deux Ethnologues dans le Métro, édité par CEDEJ- Centre d’études et de documentation économiques juridiques et sociales, publié dans la revue scientifique sociale Égypte/Monde arabe le 31 décembre 2006, 11 pages au total.

Tout d’abord, le texte nous propose l’histoire du métro au Caire, l’inauguration de la 1ère ligne de type RER en 1987, et la seconde est en service à partir de 1996 et 1999. Le métro, comme une innovation moderne, est un bon endroit pour les études anthropologues s’attachant au temps et au lieu. Les deux auteurs ou observateurs utilisent la double enquête, c’est-à-dire l’observation participante et la description, pour nous analyser les utilisateurs et la société dans le métro du Caire.

Selon cet article, il s’agit aux deux ethnologues qui observent les comportements des voyageurs. Dans le métro, c’est un lieu serré est pas confort, les gens vont peut-être commettre inévitablement des bévues, ils doivent en faire tôt ou tard l’apprentissage en intériorisant des comportements dont la maitrise le désigne aujourd’hui comme familier. On essaie de tirer les leçons dans le métro. Pour les observateurs voyageurs qui connaissent aucune langue locale, le métro est un terrain de l’apprentissage, à défaut de maîtriser la langue, et aussi pour les utilisateurs, ils apprennent les ajustements des convenances. Sur l’autre part, ils nous proposent des règlements pour faire l’observation participante, comme relance de la conversation lui permet de noter une idée, rester avec un interlocuteur privilégié donne à l’autre la liberté de sortir du champ, pour s’abstraire de propos de pure convenance, prendre une photo, vérifier quelque chose en passant, pour prêter l’oreille aux voyageurs d’à côté, regarder à travers la vitre. C’est aussi la qualité d’un chercheur dont il doit avoir, et plus il faut gérer la crise et surmonter les mille et l’embarras qu’il rencontre. Plus participante pour l’un, plus observatrice pour l’autre.

La partie sur la question du local, ils nous racontent que l’on doit ajouter les conditions locales dans l’analyse des comportements des gens, pour répondre la question pourquoi-ils font ce comportement? Il est justiciable d’analyses hyperlocalisées recourant éventuellement à des descriptions microscopiques, d’autre part, son usage ne peut être envisagé indépendamment d’autres pratiques qui relèvent d’autres lieux et d’autres moments. Le métro met matériellement en relation à travers l’espace de l’agglomération différents lieux et moments, caractérisés par leur hétérotopie – qu’une approche plus macroscopique est capable d’appréhender.

Le métro est l’unité de temps et de lieu? C’est la problématique qui est indiquée par les auteurs. Le métro s’est inséré dans l’ensemble des éléments

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