Kaiser
Cours : Kaiser. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kaiserr • 10 Janvier 2016 • Cours • 1 913 Mots (8 Pages) • 627 Vues
SOMMAIRE
- INTRODUCTION
- DEVELOPPEMENT
- LES DIFFERENTES CAUSES
- Les causes liées à la crise de 1999
- Les causes liées à la crise de 2002
- Les causes liées à la crise de 2010-2011
- LES DIFFERENTES CONSEQUENCES
- Les conséquences au plan humanitaire
- Les conséquences au plan économique
- LES TENTATIVES DE SOLUTION
- CONCLUSION
- INTRODUCTION
A
pres le décès du 1er président <<Felix Houphouët BOIGNY>>, la vie politique ivoirienne a connu un bouleversement remarquable; car elle fut frappée par diverses crises à savoir le coup d’Etat manqué de 1999, la rébellion du 19 septembre 2002 et enfin la crise post- électorale de 2010- 2011.
La fréquence de ces crises nous amène à nous interroger sur les raisons ou le contexte de ces crises, suivies des conséquences et enfin voir les solutions qui ont été apportées.
Ainsi dans le développement qui suivra nous parlerons des causes, puis des conséquences et enfin des tentatives de solutions liées aux différentes crises.
- DEVELOPPEMENT
- LES DIFFERENTES CAUSES
- les causes liées à la crise de 1999
La cote d’ivoire après avoir pleurée la mort du président Houphouët en 1993 a été victime d’un désordre politique qui ne dit pas sont nom. Pour aller plus loin, ce désordre remonte a l’introduction même du multipartisme.
Pour tout dire le président Alassane OUATTARA premier ministre d’Houphouët fut envoyer en prison en raison de la crise économique qui se vissait en cette période tandis que le président Henri Konan BEDIE était le président de l’assemblée national alors ce qui fait de lui le dauphin constitutionnel du président Houphouët en cas de vacation de la présidence ou décès de ce dernier.
Ainsi a la mort du président, la présidence devrait être assurée par le président de l’assemblée ce que contestaient certaines personne tel que l’actuelle président jusqu’à ce qu’il soit victime d’un coup d’Etat militaire en 1999 de la part du général Robert GUEI qui d’après lui était venu rétablir l’ordre et le balayage des rues. Mais par la suite a voulu s’accaparer le pouvoir et a été malheureusement trouvé mort.
- Les causes liées à la crise de 2002
Apres avoir organise les élections qui ont reconnu le président GBAGBO Laurent comme le président élu. La candidature du 1er ministre fut rejetée sous prétexte qu’il était Burkinabé. Dès son accession au pouvoir en 2000 le président Gbagbo se mis au travail jusqu’au 19 septembre 2002 ou une rébellion armée tente de déstabiliser son pouvoir, ayant échoué, il remonte un peu au nord du pays et divisent ainsi le pays en deux.
Leurs motivations c’est qu’ils sont marginalisés et subissent une sorte de discrimination parce que ressortissant du nord du pays. Comme groupe rebelle on avait le MPCI, MPIGO, MIPCI, avec a leur tête l’actuel chef de l’assemblée national SORO Guillaume et d’autre chef de guerre tels qu’Issiaka OUATTARA dit WATTAO, Chérif OUSMANE, KONE Zakaria….
La situation demeura la même pendant 10ans. Des tentatives de solution fut apportées au travers des accords ; entre autre les accords de :
- Lomé I en novembre 2002
- Linas Marcoussis en janvier 2003
- Accra I, II, III en septembre 2002, mars 2003 et juillet 2005
- Pretoria I et II en avril et juin 2005
- Ouagadougou en mars 2007
Par ailleurs, après plusieurs remaniements ministériel relativement aux différents accords (le 1er ministre est issu des forces rebelle partant de M. Seydou DIARRA au 1er ministre Guillaume SORO) on en arrive a l’organisation des élections en 2010 avec le désarmement des forces nouvelles. Mais il faut dire que le désarmement ne s’est pas fait dans la pratique puisque le nord du pays était toujours contrôlé par les forces rebelles. Et les élections ont été malgré tout organisées.
- Les causes liées à la crise de 2010 – 2011
La crise ivoirienne de 2010 a 2011 est une crise qui débute après le 2nd tour de l’élection présidentielle ivoirienne du 28 novembre 2010.
C’est le 1er scrutin depuis 10ans, dont les résultats amènent à un différent électoral, a la suite fraudes présumées.
En effet, deux candidats, Laurent Gbagbo le président sortant est reconnu par le conseil constitutionnel et le candidat Alassane Ouattara, reconnu par la commission électoral indépendante (CEI) et la communauté international, revendiquent chacun la victoire. Le 2 décembre, Youssouf BAKAYOKO, président de la CEI annonce la victoire d’Alassane Ouattara avec 54.10% des voix, contre 45.90% pour Laurent Gbagbo avec un taux de participation de 81.1%.
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