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Salammbô, Gustave Flaubert

Commentaire de texte : Salammbô, Gustave Flaubert. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  2 Novembre 2020  •  Commentaire de texte  •  1 785 Mots (8 Pages)  •  4 676 Vues

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Salammbô de Gustave FLAUBERT chapitre 2

Introduction

Salammbô est un roman historique de Gustave Flaubert, paru le 24 novembre 1862.

Il a pour sujet la guerre des mercenaires, III ème sicle avant J-C, qui opposa la ville de Carthage aux mercenaires barbares qu’elle avait employés pendant la premier guerre punique et qui se révoltèrent, furieux de ne pas avoir reçu la solde convenue. Flaubert chercha à respecter l’histoire connue, mais profita du peu d’informations disponibles pour décrire un Orient à l’exotisme sensuel et violent.

I : les sentiments de Mâtho

Mâtho est un personnage emporté par son chagrin d’amour il est pris de violence et d’ecce sur son amour envers la fille d’Hamilcar il en viens même à s’imagine un lien qui les unis représenter par cette chaîne qui n’existe que dans sa tête ce qui revient à un sentiment de paranoïa que l’auteur a voulut faire paraître dans ses textes comme lorsque que Mâtho dis « si je marche, c’est quel avance ; quand je m’arrête, elle se repose » c’est un parallélisme de construction qui montre que Mâtho est enfouie dans un sentiment de paranoïa et de folie.

Et lorsqu’il dit « ses yeux me brulent, j’entends sa voix » se qui est faux car tout ça n’est que dans sa tête c’est d’ailleurs pour cela que Mâtho est représenté comme un fou cette phrase fait d’ailleurs partie du registre littéraire de la tragédie car c’est tragique se que Mâtho éprouve car il en revient à s’imaginer la voix de sa bien aimée qui n’existe que dans sa tête ce qui est réellement une torture pour lui il sent que la présence de la princesse il se sent comme possède comme si la princesse s’était emparé de son corps et ordonné à son cœur de l’aimer et à sa tête de l’imaginer le jour comme la nuit mais rien ne pourrait justifier cette amour et cette prise de folie que Mâtho a envers la belle princesse car Mâtho n’est pas pris d’une souffrance physique mais d’une souffrance psychologique son amour pour la princesse la littéralement ronger de l’intérieur c’est d’ailleurs pour ceci que la ponctuation est une ponctuation expressive qui montre le désarrois el la frustration de Mâtho

Mais malgré que la princesse est proche physiquement Mâtho a l’impression qu’un océan sépare leur cœur et qu’elle paraît soudainement impossible à atteindre tels une étoile dans le ciel la princesse semble tellement belle au yeux de Mâtho qu’il l’assimile à un déesse car tel Aphrodite elle est belle mais cruelle à la fois et se joue de l’amour de Mâtho pour accroître sa beauté sans égale elle semble tellement proche mais aussi tellement loin à la fois que Mâtho se demande si elle n’est pas le fruit de son imagination d’ailleurs en lisant le texte les point de suspension entre chaque pensé de Mâtho nous montre qu’il est en pleine réflexion et qu’il se pose continuellement la question de si la jolie princesse est réelle ou non se qui nous laisse à éprouver un sentiment de pitié pour ce pauvre qui a toute les richesse qu’il souhaite en sa possession mais qui n’est intéresser que par elle...

II Mâtho et les femmes

Mâtho se pose la question de si il est un encore un enfant et en écrivant cette phrase l’auteur utilise la figure de l’anti phrase il se sent vis à vis de Salammbô nul et sans défense car malgré son âge il continue de s’attendrir au jolie visage et au douce voix mélodieuse des femmes il utilise à ce moment là la figure de l’analogie à ce moment là Mâtho montre

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