Résumé, Lorenzaccio, Musset

Florence, Italie

1537

→ paix avec l’empereur d’Allemagne

→ pouvoir entre les mains du duc Alexandre de Médicis (Pape)

Alexandre DM : jeune, vie de débauche, règne grâce à la terreur, insensible, inhumain

presqu’autant détesté que son cousin Lorenzo DM (Lorenzaccio)

ACTE 1

Alexandre veut séduire une jeune fille de quinze ans, et Lorenzo l’aide en lui achetant sa vertu. Il finit par sortir du bal en compagnie de son fidèle Salvati qui se fait une énième fois éconduire par Louise Strozzi.

Dans la rue, il est lourdement critiqué, on le trouve cruel.

La marquise Nasi avoue au cardinal Cibo, son beau-frère, qu’elle trouve le comportement d’Alexandre regrettable (déguisement et amour).

Le comportement de Lorenzo est lui aussi vivement critiqué (Pape III, chancelier). Cependant, lui et son cousin s’en moque et se croient intouchables. (faiblesse de Lorenzo quand il s’évanouit devant l’épée, montre le peu de bravoure).

Julien Salviati se montre en spectacle et fait croire que Strozzi lui a promis de coucher avec lui.

La mère de Lorenzo quant à elle s’inquiètera beaucoup concernant l’avenir de son fils.

ACTE 2 :

Mr Strozzi est consterné par le monde d’aujourd’hui. Ses deux fils décident de se venger de Salviati malgré l’opposition de leur père.

Pendant ce temps, Lorenzo se préoccupe de la réalisation d’un tableau d’importance avec le peintre Tebaldeo.

Le cardinal Cibo subit la pression du pape III pour diriger Alexandre, il souhaite utiliser sa belle-soeur pour qu’elle devienne son amante et ait ainsi de l’influence sur la politique de Florence.

La mère de Lorenzo, sa tante et lui-même évoquent plusieurs souvenirs. Il annonce à son oncle qu’il se range du côté des républicains. Son oncle et son ami se feront piégés grâce à des privilèges de la part d’Alexandre. Ce dernier a réussi à séduire la marquise de Cibo et souhaite maintenant, avec l’aide de Lorenzo, séduire sa tante.

Pierre, l’un des frères partis tuer Salviati, revient couvert de sang et en est fier.

Tebaldeo réalise le portrait d’Alexandre. Lorenzo profite de sa pose pour jeter sa cotte de mailles. Alexandre ne soupçonne en aucun cas son cousin d’avoir commis cet acte malgré les rumeurs.

ACTE 3 :

Lorenzo s’entraîne avec des armes, il a un ennemi en tête dont il tait le nom qu’il veut affronter seul. Il donne l’habitude de crier pour que le jour J, personne ne s’inquiète.

Salviati n’est pas mort, Pierre décide de monter un complot contre Alexandre. Il convainc son père de l’amener à un banquet de Républicains (Pazzi).

Mais un officier allemand les conduit en prison sous la demande d’Alexandre. Leur père est achevé par cette justice qui les condamnera. Ce dernier, Philippe, supplie Lorenzo de sauver Florence d’Alexandre. Lorenzo explique que s’il en est là où il est, c’est que c’était son plan et Philippe loue ce courage. Lorenzo veut tuer le duc, mais il pense que la tyrannie ne sera tout de même pas achever donc il le fait surtout pour se venger (il a perdu son innocence).

La tante de Lorenzo reçoit la lettre d’amour d’Alexandre et la mère de Lorenzo est dépassée.

La marquise attend Alexandre, le reçoit et lui indique de prendre la tête des républicains pour libérer Florence de la domination allemande. Elle essaye de contrôler ses choix. Il ne veut rien entendre et décide de partir.

Philippe demande aux Strozzi de trouver un moyen de libérer ses deux fils. Au cours du repas, Louise meurt empoisonnée (Salviati coupable). La famille crie vengeance, Philippe, désespéré souhaite quitter Florence.

ACTE

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