Perdican

Perdican essaye de persuader Camille que l'amou est bien réélle et que sa beauté est immense, il souhaite lui faire comprendre que l'amour vaut le coup de vivre dans ce monde.

Tout d'abord, il l'incite à se rebeller contre les paroles religieuses par cette phrase "réponds ce que je vais te dire" l.2, il lui demande de répondre aux récits abominables de la communauté. Il évoque "etre factice créé par mon orgueil et mon ennui" l.11 ces mots laissent comprendre que Camille fuie les hommes car ils sont souvent "orgueilleurx" et ils se croivent supérieur (au dessus) des autres et "l'ennuie" les a obligé a se construire une personalité qui ne leur appartient pas, celle d'un croyant.

Ensuite, Perdican s'amuse en utilisant la laideur et le contraste du monde tout en exprimant la beauté de l'union amoureuse. Il utilise une hyperbole pour donner une valeur exceptionnel qui frole une certaine suprémité d'union l.7 "une chose sainte et sublime". Il emploi aussi une "sainte et sublime", cela se confronte à "si imparfaits et si affreux" l.7, c'est un élément de plus qui met en lumiére l'union.

Pour finir, Perdican s'exprime sur la difficuté de l'amour. Il dit "on est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux" l.10 cette anaphore accentue la difficulté de l'amour. Il emploi deux conjonctions de coordination pour contraster "Mais on aime" l.8 et "mais j'ai aimé" l.10 le "mais" met en avant le fet d'aimer, cela donne l'impression de surer une éternité "quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière" l.9 et "c'est moi qui ai vécu" l.11 c'est le seul qui fasse éprouver le sentiment de vivre.

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