Le libéralisme

1. Le libéralisme :

1. La doctrine politique ?

Nous sommes toujours en plein révolution industriel. On verra les grands courants de pensée politique et économique qui structure cette époque. Le libéralisme, c’est vraiment la pensée politique dominante au 18e siècle en Europe et aux Etats-Unis. Elle trouve ses fondements chez les philosophes anglais ; par exemple : John Lock. Le libéralisme trouve sa source dans la philosophie de lumière et ainsi que dans certaines expériences de la révolution française, notamment la révolution bourgeoise (première phase de la révolution française datant de 1789-1792). La pensée libérale est fondée sur le principe de la liberté industrielle. Cette liberté doit être réelle dans toutes les domaines donc liberté politique, liberté économique, liberté sociale, liberté religieuse. Il considère que l’état peut abuser de leur pouvoir et perdre leur liberté. Ils affirment leur existence dans le droit naturel et inalliable.

Quelle doit être pour les penseurs libéraux le rôle exact de l’état ?

Analyse du document 2 :

Adam Smith publie un ouvrage très important du nom de « recherches sur la nature et les causes de la richesse » en 1776.

C’est vraiment la définition de base du libéralisme, donc le libéralisme est un système qui se repose sur l’individu. Chacun est libre et d’agir selon ce qu’il considère sont intérêt. Il est libre d’entrer en concurrence avec les autres hommes et l’état doit lui garantir cette possibilité. L’état doit donc garantir un marché libre, sans taxe et sans règle contraignante. Parce que pour Adam Smith, il n’y a qu’un marché libre qui permet la création de la richesse, la croissance économique et le progrès technique.

Adam Smith invente le concept de la main invisible. C’est une sorte de force invisible qui équilibre le marché. L’état ne doit pas intervenir quand il y’a un déséquilibre, c’est la main invisible qui doit intervenir.

L’état en plus de ça doit :

1. Garantir un devoir militaire, (donc avoir une armée et police).
2. Devoir de la justice, donc protéger chaque membre de l’injustice.
3. Devoir d’égalité, c’est-à-dire de maintenir les travaux publics.

Cette concurrence apporte de la richesse et le progrès technique.

1. La conception libérale de l’individu et de la société :

Chaque individu est considéré comme posséder une raison de vivre. Le libéralisme au 19e siècle, les deuxièmes phases révolutionnaires 1830-1848. Le libéralisme qui provient de la pensée bourgeoise est le moteur de la révolution industriel. Il y’a plusieurs tendances au sein du libéralisme. Les libéraux, croient que les êtres humains soient libres mais ils ne considèrent pas tous comme des êtres humains, comme par exemple, les habitants des colonies hors européennes n’ont pas de droit. Il y’a une inégalité.

Analyse du document 3 :

Député libéral, à la chambre des représentants.  

Il y’a certains libéraux qui considèrent que tous les hommes ne sont pas des hommes et qu’également les femmes sont inférieures à l’homme et puis même en Europe, il y’a des libéraux bourgeois qui disent que tous ce qui ne sont pas bourgeois ne sont pas des hommes, donc ils ne sont humains et donc on ne doit pas les donner de droits. Ils vont s’opposer et représenter sa politiquement. Ils s’opposent, en effet, au suffrage universel et défend le suffrage censitaire. Ils sont contre la redistribution des biens.

On a deux grands courants au sein du libéralisme :

1. Progressivité.
2. Conservateur.

1. Les socialismes :

1. Les mouvements ouvriers :

On a vu la question sociale, la misère des ouvriers, très important

La bourgeoisie, l’élite, justifie ces inégalités, elles considèrent qui les inégalités sont nécessaire pour le fonctionnement de la société et les bourgeois catholiques disent même que c’est une volonté de Dieu. La bourgeoisie s’oppose à toute intervention de l’état pour corriger cette situation.

Les premières réactions ouvrières ont lieu dès le tout début du 19e siècle, en 1815, en Belgique, dans la région de Douving, donc en Mons et dans la région de Gand. Ce sont des grèves spontanées qui ne sont pas très bien organiser, ce sont les ouvriers qui protestent parce qu’ils considèrent qu’ils doivent être mieux traités. C’est parfois violent, cela va devenir

...