L'allopathie

L’allopathie

La médecine allopathique est celle que nous connaissons lorsque nous consultons notre médecin traitant habituel.

Ces soins utilisent la chimie et la technologie afin de rétablir le corps. Cette forme de médecine sauve des milliers de vies chaque année, car elle permet d’inter- venir rapidement et plus efficacement qu’en pratiquant les médecines naturelles.

Mais comme tout système, elle a ses dérives et ses limites.

En fait, la médecine allopathique, dans la majorité des cas, réprime les symptômes et ne traite pas les causes réelles. Cela se vérifie davantage avec l’automédication. En effet, les médicaments sont souvent utilisés pour soulager une petite douleur. On oublie toutefois que cette douleur est l’expression d’un trouble.

Par exemple, la fièvre est le signe que le corps combat une infection. Si vous apaisez une légère fièvre ne dépassant pas 38,5 °C, vous mettez fin au processus de lutte, et l’infection peut alors avoir le champ libre pour se développer.

La diarrhée est une réaction d’élimination rapide d’un danger potentiel dans le système digestif. En arrêtant la diarrhée, vous conservez ce danger dans votre organisme. Il est préférable par exemple d’aider votre corps en cessant temporairement de manger pour limiter ses efforts. Les exemples sont encore très nombreux et nous ne pouvons tous les détailler, mais vous avez maintenant compris le principe.

Un symptôme est le signal d’alerte d’un dysfonctionnement dans l’organisme. En faisant taire ce signal, vous ne réglez pas le problème, qui risque de se faire entendre de manière bien plus insidieuse et intense la fois suivante.

Pourquoi insister autant sur ce principe de la médecine allopathique ?

Il est essentiel de comprendre la différence avec les autres formes de médecine.

Nous n’avons cependant pas pour vocation de renier l’utilité de la médecine occidentale, bien au contraire. Nous mettons simplement en avant qu’elle possède des vertus indispensables au traitement des pathologies lourdes et chroniques.

Une fois que l’on a compris les points forts des différentes médecines, on est plus à même de les utiliser à bon escient, sans dérive ni excès.

...