Journal des faux monnayeurs
Cours : Journal des faux monnayeurs. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Maurine Maufroy • 26 Février 2017 • Cours • 1 054 Mots (5 Pages) • 2 411 Vues
Journal des Faux Monnayeurs
Le journal se constitue en 2 cahiers.
1er cahier 17 juin 1919 au 7 décembre 1921
2ème Aout 1921 au 8 juin 1925
Les intervalles varient de 2jours a 15 mois donc il n’écrit pas régulièrement. Ce n’est pas un journal quotidien. La longueur varie de 14 pages a 4lignes. Plus d’une 20taines de Lieux différents donc Gide n’écrit pas dans un bureau chez lui mais en tous lieux et par des dates déterminées seulement par un questionnement sur son récit.
Lafcadio, a l’origine le perso principal que voulait Gide était ce fameux Lafcadio de son précèdent roman « des caves du Vatican ». Dans le dernier chapitre ce perso ce livre à une sorte d’acte gratuit, il commet un meurtre sans raison sans justificatifs, c’est pour Gide une façon de montrer la liberté de son perso il se croit libre.
Les faits réels : le suicide de Lennie (Ref à Boris). Raconte des anecdotes jeune voleur de livre (ref à Gorges) l’écrivain présent au banquet des argonautes et une personne réelle que connait bien Gide.
Dans les annexes il y a plein de journaux, une correspondance, une page qui s’intitule l’identification du démon,
Citation du journal de Gide
« Sans composition, l’œuvre d’art ne saurait présenter qu’une beauté superficielle ».
La composition des FM s’apparente à l’art de la fugue tel que la pratiquait BAC et tel que rêve la pratiquer Edouard. Divers motifs qu’il reprend créant un effet de parallélisme et symétrie dans l’œuvre. L’art de la fugue.
Le romancier expose divers motifs qu’il reprend avec parallélisme etc…
- Une fugue de Bach : le chassé-croisé des possibles
André Gide pour lui les Faux-Monnayeurs est son premier roman. Ses premiers livres qui nous paraissent romanesques, il les nomme des soties. Sotie= un récit simple linéaire avec peu de perso donc le lecteur ne peut absolument pas s’égarer entre la situation initiale et le dénouement. Alors que les Faux-Monnayeurs est tout à l’inverse.
- Un roman policer ?
Le titre nous influe déjà vers un roman policier, puisque laisse supposer une entreprise criminelle de fausses monnaie. Des personnages typiques de policier aevc des juges qui se penchent sur deux affaires une prostitution et une fausse monnaie. Puis l’histoire par rapport à Boris avec la bande des écoliers manipulé par le diabolique Victor Strouvilou. C’est ce quon appelle créer une horizon d’attente chez le lecteur. En se fiant a tous ses indices nous sommes décu car le theme de la fausse monnaie est abordé tardivement et de plus détourné .
- Un roman d’apprentissage
Roman aussi d’éductaion de formation.
C’est un genre né avec « les années d’apprentissage » Goethe 1767. Expose la formation d’un être jeune sans expérience qui va être confronté à différentes épreuves aventures et qui va évoluer. Ce roman d’apprentissage, contrairement aux autres, n’est pas centré sur l’évolution d’un seul personnage. Mais Bernard suit en particulier un véritable parcours initiatique, au début il part à l’aventure a la recherche de son destin et va affronter diverse épreuve. Bernard pense rencontrer le véritable amour grâce à Laura. Il essaye d’apprendre à se connaitre lui-même. Il semble résister à diverses influences dont celle d’un groupe nationaliste. Il recherche le sens de sa vie « Je sens en moi de grandes forces inemployé j’aimerai les mettre en services » chap 5 partie III. A la fin il rencontre un ange qui montre un moment où il doit faire un choix existentiel.
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