Francais. BTS MUC

Culture générale

« Le corps est l’une des données constitutives et évidentes de l’existence humaine : c’est dans et avec son corps que chacun de nous est né, vit, meurt; c’est dans et par son corps qu’on s’inscrit dans le monde et qu’on rencontre autrui. » Michela Marzano, La philosophie du corps, PUF paris 2007 « Que sais-je? » n°3777

15 expressions à partir du corps :

Être bête comme ses pieds, ne plus savoir ou donner de sa tête, tomber comme un cheveu sur la soupe, faire les yeux doux, reste bouche bée, avoir la tête sur les épaules, avoir les pieds et mains liée, huile de coude, talon d’achille, mettre sa main a coupe, jouer des coudes, avoir un coup dans le nez, avoir la main verte, Avoir les chevilles qui gonflent, sa coute un bras

Le nouveau thème proposé à l’examen du BTS invite a un questionnement majeur : comment penser le corps ? Comment l’appréhender, le représenter ? Quelle est notre relation au corps envers nous mêmes,; envers le corps d’autrui et envers les systèmes de normes, les imaginaires individuel et collectif qui régissent les sociétés.

le fameux mens sana in corpore sano prend donc tout son sens. Le lien entre le corps et l’esprit fait toute la spécificité de ce thème.

Le philosophe allemand Hans Silvester a effectué pendant six ans un reportage militant auprès des peuples de la vallée de l’Omo en Éthiopie.

Le Body Painting ou enture corporelle a développé un langage du véhiculant tout un ensemble de signes codés. international body Festival 2012.

La mode emblématique le corps selon un système complexe de signes et de signification.

Comme nous le comprenons, la relation au corps dépend étroitement des processus de symbolisation, des systèmes de pensée et de morale : même le corps naturel est socialement construit par le subjectif, le social, le collectif.

Comme nous l’avons vu, réfléchir au corps invite à réfléchir à l’être : si l’idée de finalité définit le mieux le corps naturel, l’homme fragmenté du XXIe siècle se perçoit comme en train de s’altérer, d’où l’impérieux besoin de se donner, fut-ce au moyen d’artifices, l’illusion de l’éternité. A travers la réflexion sur le corps, n’est-ce pas l’identité et la survie même de l’humanité qui est posée ? En transportant au-delà des déterminismes biologiques, le corps artificiel témoigne d’une crise identitaire profonde et d’un nouveau rapport à soi.

AXE 1 : Le corps naturel à l’épreuve de la vie

« Chacun d’entre nous est un corps, soumis aux mêmes lois que toutes les autres portions de matière » BERGSON, L’énergie spirituelle

L’homme n’a pas uniquement une âme, un esprit. Il est aussi doté d’un corps qui se rappelle très souvent à lui pour lui faire d’écrou or les plaisirs de la vie comme l’expérience de la douleur.

4 maux peuvent altérer et détériorer le corps :

Maladie BA la chambre des officiers DUGAIN, reportage gueule cassée France 3, BA de rouille et d’os

Troubles d’ordre psychique

Accident de la vie

Handicape ( a corps dérangeant 2016 Villeneuve dasq)

AXA : parodie de la vieillesse qui arrive vite

Tatie Danielle : personne isolée, génération, acariâtre, cohabitation

Complot de vieux groland : rien a foutre des gens, vieillissement de la population

Brazil (film) : lifting, botox, chirurgie esthétique

La boum : intergenrationel

De quelle manière peut-on considérer la vieillesse ?

Axe 1 : déchéance

corporelle

Mentale

Porte d’autonomie et de mobilité

Axe 2 : évolution naturelle de l’homme

sagesse

Acceptation

Inexorable

Une pratique humaine ancienne et universelle : Modification du corps depuis toujours dans toute société, en le parant (tatouage) ou en le déformant. Aujourd’hui, phénomène très répandu. pas un effet de mode car il a toujours existé. Pas un effet de mode car a toujours existé.

Évolution de la perception du tatouage : tatouage mal perçus au 15e siècle car associés au monde indigène non civilisé. Au 18ème siècle, changement de perception : sa pratique se démocratise,est accepte. Dans les années 80, devient un art avec le Body Art.

fait encore « mauvais genre » pour certains.

Évolution du tatouage vers une fonction identitaire: marquer le corps était au Moyen Âge un moyens e punir, d’exclure certains citoyens. Permet de dire que l’on est, de se distinguer, se démocratise, est acceptée. Aujourd’hui, il s’en sert à marquer le corps pour le rendre unique et qz montrer sans une société de l’apparence. Il a une significatoin et n’est donc pas esth »étiqueté

Fonction langagière du tatouage = moyen de communiquer son appartenance sociale, son origine. les tatouages sont cachés sous le vêtement car fait pour soi, réservé a sphère de l’intimité. Se tatouer pour communiquer car mle tatouegae est un langage non verbal qui comporte des signes et des valeurs. il est un message pour soi ou a l’attention des autres.

Fonction psychologique : le tatouage exprime le peur qu’a l’homme de mourir, son besoin

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