Chapitre 4 En economie
Cours : Chapitre 4 En economie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lolo97100 • 13 Décembre 2015 • Cours • 1 269 Mots (6 Pages) • 1 328 Vues
Chapitre IV : L’ouverture des économies
L’ouverture des économies a permis une forte progression des échanges internationaux, et ce même si tous les pays ne sont pas impliqués dans la concurrence internationale au même degré. La situation est mesurée par des indicateurs comme le taux d’ouverture de l’économie. En outre les échanges internationaux peuvent donner lieu à des opérations de change qui consistent en la conversion d’une monnaie en une autre.
- La nature des échanges
Voir synthèse page 41 partie 1p
- Les Investissements Directs étrangers sont les investi en capital et non en portefeuille réaliser tant par des firmes étrangères sur le territoire national (France) que par les firmes nationales sur les territoires étrangers.
- Investissement de portefeuille ce sont des achats de titres par des agents non-résidents dans une optique de placement et non pour prendre le contrôle de l’entreprise. Inférieur à 10% de la valeur de la société selon le FMI.
- La mesure des échanges internationaux
- La balance des paiements
La signification économique de la balance des paiements constitue un tableau équilibre ou le total des débits et des crédits sont identiques. Il reflète les pressions sur le cours de change.
⇨Tout ce qui est positif dans la balance des paiements joue en faveur de la monnaie nationale et ce qui est négatif contribue à sa dépréciation.
Principes de comptabilisation
⇨ Un chiffre positif traduit une entrée de devises (mais une diminution des avoirs) qu’ils soient réels, financiers ou monétaires
⇨Un chiffre négatif traduit une sortie de devises (mais une augmentation d’avoir)
Voir synthèse page 41 partie 2
Les opérations commerciales sont comptées positivement lorsqu’elles correspondent à des entrées des devises (exportations) et négativement lors des sorties (importations).
Le solde de la balance commerciale mesure la différence entre les exportations et les importations c’est-à-dire la quantité de devises entrées et sorties d’un pays au titre de son activité commerciales. Il permet d’apprécier la place du pays dans la division international du travail son degré de dépendance vis-à-vis de l’extérieur.
Excédentaire si le solde commercial est positif
Déficitaire si le solde commercial est négatif
Equilibré si le solde commercial est nul = 0
Le compte financier de la balance des paiements est la contrepartie des opérations courantes. Un déficit des opérations courantes va implique un excédent des opérations financières et inversement.
Les flux du compte financier obéissent à la même logique que les flux commerciaux : un signe positif correspond à une entrée de devises et un signe négatif à une sortie de devises.
Les entrées de capitaux correspondent à une diminution d’avoir et sont enregistrées positivement. Ainsi, l’emprunt d’une firme française sur les marchés internationaux correspond à une entrée de devises, elle est comptabilisée positivement.
Ce qui est positif du point de vue comptable, n’est pas nécessairement bénéfique du point de vue économique. Si les exportations sont à priori économiquement saines, les entrées liées à des flux de capitaux peuvent renvoyer à une situation néfaste : endettement par rapport à l’étranger ; prise de contrôle de l’étranger dans les sociétés résidentes.
Les autres investissements prennent la forme de crédit à moyen et long terme, qui correspondent soit à des emprunts effectuées à l’extérieur du pays ou inversement des prêt accordé à l’étranger, soit des crédits commerciaux qui assurent le financement du commerce extérieur.
La balance des opérations courantes concerne le haut de la balance des paiements, elle retrace ce qu’on peut appeler, la part réel de l’activité de l’économie française, c’est-à-dire les échanges non financiers et non monétaires.
L’évolution de la balance des opérations courantes françaises se dégradent fortement, la balance passe d’une position excédentaire jusqu’en 2004 à une position déficitaire. Ceci traduit le faite que la France est un réel problème concernant son commerce externe[a].
- Les instruments de mesure du commerce extérieur
- Le taux d’ouverture : mesuré généralement par la moyenne des exportations et des importations d’un pays rapporté au PIB. Montre le caractère plus ou moins extraverti d’une nation.
[pic 1]
Commentaire :
- Forte progression des échanges internationaux liée à l’ouverture des économies
- Au sein d’une économie, existence de secteurs abrités et de secteurs exposés à la concurrence mondiale.
- Variabilité des taux d’ouverture selon les pays liés à différents facteurs : taille du marché intérieur (territoire, population), degré de spécialisation productive…
- Le solde du compte des transactions courantes : différence entre les exportations et les importations de biens, services, revenus et transferts courants.
Commentaire :
- Indicateur de performance de l’économie mesurant la capacité ou le besoin de financement de la nation.
- Ces d’un solde excédentaire : le pays, en capacité de financement, produit plus qu’il ne consomme et n’investit
- Explications possibles : meilleure compétitivité des produits du pays et/ou de faiblesse de la demande interne (consommation, investissement)
- Le taux de couverture : ratio des exportations rapportées aux importations de biens : Valeur des exportations/ valeur des importations*100
Il permet d’analyser l’excédent ou le déficit de la balance commerciale par l’analyser de la part des exportations par rapport aux importations ; Lorsque le taux de couverture est > 1, cela signifie que la balance commerciale est excédentaire.
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