Anglais
Fiche : Anglais. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mama51 • 23 Juin 2015 • Fiche • 369 Mots (2 Pages) • 912 Vues
The cult of the faceless boss
Partie I : Compte rendu écrit en français
Le document est un article du journal « The Economist » publié le 14 novembre 2009. Edité dans la rubrique « Business », cet article compare deux types de dirigeants d’entreprise : le dirigeant « anonyme » et le dirigeant « Star ».
Le dirigeant « anonyme » est humble, agit avant tout dans l’intérêt de son entreprise et n’abuse pas de ses avantages de numéro 1. Comme par exemple, Haruka Nishimatu, le patron d’une compagnie de vol aériennes japonaises qui voyageait en bus à ses frais pendant ses déplacements professionnels ou encore Mike Eskew l’ancien dirigeant d’UPS.
Le dirigeant « Star » est connue et médiatisé. Visionnaire flamboyant et égocentrique, il dirige son entreprise de façon « impérial » et collectionne les avantages et passes droit. Comme par exemple, Bill Gates et Steves Jobs ou encore John Patterson, Jack Welch, Lou Gerstner,…
A une époque, le dirigeant connu était adoré dans le monde du business au détriment du dirigeant « anonyme ». On préféré un homme au caractère vif qui savait briller en société. Plutôt qu’un homme ennuyeux qui ne pouvait à peine se faire remarquer à un cocktail.
Mais après une vague de fureur populaire avec des cadres surpayés aux parcours inexplicables, la crise financière à inverser la situation. Dans ce climat instable et turbulent, le dirigeant « anonyme » est celui qui survie le mieux.
Aujourd’hui, on n’hésite plus à réprimander ses dirigeants « superstars » aux résultats lamentables dans leurs entreprises. Les mandats moyens ont diminué et les conseils sont de plus en plus favorables à licencier les dirigeants qui sortent de la ligne de conduite, particulièrement en Europe.
Pourtant, certains ne sont pas convaincus par ses dirigeants « anonymes ». Ils soulignent qu’un profil bas n’est pas garanti contre un échec de l’entreprise. Ils pensent que le monde de l’entreprise à besoin de ses visionnaires flamboyants et égocentriques plutôt que ses dirigeants humbles. Les réfractaires expliquent que les mots « anonymes » et « humbles » ne sont pas les premiers mots qui nous viennes à l’esprit lorsque nous pensons aux dirigeants qui ont façonné le paysage de l’entreprise moderne.
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