Étude d'un texte extrait d’un récit de nouvelles Les Milles et uns fantômes d’Alexandre Dumas
Commentaires Composés : Étude d'un texte extrait d’un récit de nouvelles Les Milles et uns fantômes d’Alexandre Dumas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Gabygab • 10 Juin 2015 • 1 138 Mots (5 Pages) • 1 245 Vues
Commentaire :
Ce texte est un extrait d’un récit de nouvelles Les Milles et uns fantômes d’Alexandre Dumas paru en 1849. Cet extrait raconte l’exécution d’une jeune femme du nom de Charlotte. Nous allons commentez ce texte en deux axes. Dans un premier temps nous allons montrez comment Dumas suggère-t-il un caractère exceptionnel à cette exécution. Et dans un second temps nous allons montrer par quels moyens l’auteur dénonce-t-il la peine de mort.
L’auteur suggère un caractère exceptionnel à cette pièce grâce à plusieurs procédés. Le premier étant la météo très changeante tout au long du texte. Au début du texte l’adjectif qualificatif « chaud » montre qu’il faisait bon. Il faisait même trop « chaud » ce que confirme l’adjectif qualificatif « lourd ». Ensuite dès le moment de la sortie de prison de Charlotte le temps c’est gâté avec la proposition « Les éclairs brillaient, la pluie tombaient, le tonnerre grondait » ce rythme ternaire appuie sur le fait qu’il y a un gros orage. Au moment de son exécution la pluie cesse de tomber et et l’on peut même apercevoir des « rayons de soleil » qui serait la comme pour accueillir la condamnée et qu’elle était suivie par les dieux.
La météo dans le roman joue un grand rôle elle permet au début de mettre une ambiance morbide et assez terrifiante avec de gros orages et éclair comme dans les fils d’horreur. Mais dès lors que Charlotte est arrivée le soleil c’est mis à revenir et à « rayonner » dans ses cheveux et lui a fait faire se remarque et l’as rendu magnifique sans ce soleil le narrateur ne l’aurai pas remarqué et cela aurai été une exécution parmi t’en d’autre pour lui.
D’autre part l’auteur utilise pour rendre un caractère exceptionnel à cette pièce, un grand nombre de personne pour une simple exécution d’une personne que même le narrateur ne connaissait pas. Ces personnes sont décrit différemment tout au long du texte le narrateur commence par les nommer avec la proposition « la populace curieuse » puis continue avec le groupe nominal « foule » qui fait déjà un effet de plus de personnes et termine par l’appeler « le peuple » lorsqu’il défende la dignité de Charlotte. Ce phénomène d’augmentation de personnes est aussi appuyer la proposition « les quais, les ponts, les places étaient encombrés » cette proposition est une graduation qui donne un effet d’énormité et de grossissement de la foule.
Ce grand nombre de personnes occupe tous les lieux autour du lieu de l’exécution et devient de plus en plus importante passant de « populace curieuse » une dénomination très péjorative à « peuple ».
L’auteur suggère un caractère exceptionnel à cette exécution avec le courage de la condamnée Charlotte. Cette « jeune fille de vingt-sept ans » comme le suggère les nombreux adjectifs qualificatifs restait « fière et énergique » elle n’avait pas peur. La proposition « sauta à terre […] l’aidât » démontre qu’elle voulait mourir digne. Cette fille avait toute même peur en voyant l’échafaud elle « pâlit » mais ce n’es pas cela qui l’as empêchée de « pass[er] sa tête dans cette hideuse ouverture » cette proposition montre qu’elle s’est elle-même mise dans la guillotine, l’auteur décris ce mouvement avec l’adjectif « sublime » est dans ce moment une sorte d’oxymore elle se met sous la
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