Étude d'un article de The economist du 14/11/09

Cet article, extrait de « The Economist » du 14 novembre 2009, intitulé « The cult of the faceless boss », compare deux types de dirigeants : les « sans visages » et les « chefs impériaux ».

Les « sans visages », ce qui signifie les dirigeants inconnus, sont les nouveaux chefs d’entreprise.

En effet, ils n’ont pas une forte notoriété mais savent réagir face aux imprévus que nous suscite notre environnement incertain. Ils sont apparus lorsque les dirigeants impériaux n’ont pas pu réalisé leurs objectifs, et par conséquent ont eu des résultats lamentables.

Le monde de l’entreprise rejette de plus en plus ces dirigeants impériaux. Certains sont surpayés grâce à leur notoriété mais n’assurent rien en contrepartie. Désormais, ce monde recherche des personnes humbles qui, malgré qu’ils ne soient pas connus, peuvent faire avancer les choses.

Cependant, on n’arrive pas à savoir si c’est les « sans visages » ou les autres qui sont le plus productifs. Certains diront que le monde des affaires a besoin de personnes vives, et que pour la plupart les « s ans visages » sont trop effacés. D’autres déclareront que seuls les « sans visages » peuvent survivre dans ce genre de climat.

Jim Collins affirme qu’il faut des dirigeants comme les « sans visages ».

Néanmoins, on peut constater qu’une bonne partie du monde est dirigé par des « chefs impériaux » et que beaucoup d’entre eux font des exploits. Par exemple, Bill Gates ou Steve Jobs ont crée l’avenir par la force de leur personnalité et de leurs visions flamboyantes.

En conclusion, c’est un sujet qui ne peut avoir de réelles réponses, mais qu’il faut réellement en discuter lorsqu’on veut lancer ou améliorer une entreprise.

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