Rédaction D'un Article Sur La Rentrée Scolaire Des étudiants

Le début des études, un cap à

franchir!

Voilà déjà deux mois que nos jeunes bacheliers ont pour la plupart d'entre eux repris le chemin de l'école, destination les études supérieures. Si pour certains l'adaptation s'est faite facilement, pour la grande majorité, il s'agissait de s'aventurer dans un monde très vaste! Quatre étudiants ont accepté de ce confier.

L'université, se sortir des idées reçues!

En effet, pour la plupart des nouveaux étudiants, s'inscrire à l’université représentait pour eux le meilleur moyen de lier travail et détente. Une idée reçue qui leur a fait défaut. Nicolas, 19 ans étudiant en licence économie nous parle de ce préjugé auquel il s'est fié: «je me disais qu'a la fac j'aurai plus de temps libre qu'au lycée, mais je me suis vite fait à l'idée que non; entre la préparation des partiels, et le temps que je dois consacrer au cours, il n'y a plus vraiment la place pour sortir, bien que j'essaie quand même de m' accorder un foot ou une soirée ciné une ou deux fois par mois.» il nous confie cependant qu' il y a aussi des «flemmards» qui ne sont là que pour percevoir des aides financières et que les préjugés créées autour de l'université doivent venir de ces personnes là!

«En prépa je n'ai plus de vie!»

Pour Mélissa, 18 ans et inscrite en prépa HEC, le passage d'élève en terminale à étudiante en classe préparatoire a été brutal: «Je savais à quoi m'attendre en intégrant la prépa HEC, mais je ne pensais pas que le rythme imposé aurait été aussi dur que ce que je subie actuellement. J'ai 35h de cours par semaine, et à cela il faut rajouter le travail personnel qui me prend entre 3 et 4 heures par jour. Autrement dit, en prépa je n'ai plus de vie! La seule chose qui me fasse tenir, c'est le fait qu'au bout des deux ans, j’intégrerai une grande école de commerce qui je l'espère m'assurera un avenir prometteur.»

Des efforts mais pas que!

Laura, 19 ans et étudiante en BTS Communication tient quant à elle à relativiser les choses: « il est vrai que les études supérieures demandent beaucoup d'investissements mais en ce qui me concerne, dès la rentrée, j'ai aussi été mise dans le bain et je suis allées au contact de professionnels, j'ai participé à plein d'actions liées au domaine de la communication, ce que je trouve très enrichissant. De même, je pense que ces deux mois ne sont pas représentatif de ce que sera l'année, et qu'au fur et à mesure, on s'adaptera et on saura jongler entre nos études et nos loisirs!» Elle ajoute par ailleurs que le maître-mot pour ne pas baisser les bras dès les premiers

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