Le véhicule électrique

 Les produits de substitution du véhicule électrique sont tous les autres modes de transport. On trouve donc les véhicules utilisant des carburants (véhicule à essence, à gasoil), les véhicules hybrides (utilisant à la fois des carburants et de l’électricité), mais également les autres moyens de transport en commun tel que les bus, les métros, les trains (RER, TGV…). Il y a aussi les modes de transport non polluant comme les vélos (vélib, vélo s des particuliers…).

 Le pouvoir de négociation entre les concessionnaires et les constructeurs est à l’avantage des constructeurs. En effet, il existe une multitude de petits concessionnaires qui sont en demande de véhicules pour pouvoir assurer convenablement leur activité. Mais ils ont peu de poids face aux constructeurs qui instaurent donc eux-mêmes les prix.

 Les nouveaux entrants sur le marché de la voiture électrique sont les constructeurs automobiles tel que PSA, Renault, Opel, Nissan, ou encore Lumeneo. Plus récemment, des groupes industriels déjà installés sur le secteur, sont aussi présentes comme Heuliez, Géo Trouvetou ou Venturi.

 Le pouvoir de négociation des clients est faible, en effet, il s’agit de produits standardisés (non personnalisable) pour le moment. Cela ne laisse pas donc de réel pouvoir aux clients. Il y a la possibilité d’obtenir une remise à l’achat du véhicule électrique.

 La concurrence intra-sectorielle est pour le moment stable, mais chacun des acteurs investit fortement en Recherche & Développement afin de créer le modèle de voitures convenant le mieux aux clients pour s’emparer du maximum de parts de marché possibles. La concurrence se fera donc au niveau des acteurs du marché, soit les constructeurs automobiles. Mais on peut nuancer sur le fait que cette concurrence se fera surtout au niveau des segments du marché de l’automobile : les monospaces, les citadines, voitures sportives…

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