La fête de l'indépendance à Grande Pomme
Lettre type : La fête de l'indépendance à Grande Pomme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tutur10 • 9 Mai 2015 • Lettre type • 958 Mots (4 Pages) • 708 Vues
Aujourd’hui, nous partons pour la Grande Pomme. Là-bas, c’est la fête de l’indépendance, le 4 juillet. Nous embarquons à l’aéroport d’Orly pour ce beau et grand pays, et surtout pour cette immense ville emblématique qu’est New-York. Il est 5 heures du matin, nous attendons donc, ma copine, Anaëlle, et moi, Tiago, l’embarquement prévu pour 6 heures. Nous faisons donc le tour des boutiques Duty Free présentes dans les galeries de l’aéroport. Une hôtesse annonce au micro que les passagers du vol AA 11091 embarqueront dans 10 minutes, c’est notre vol ! On s’assoit dans les sièges en face la porte d’embarquement. Soudain, nous voyons l’équipage arriver, le pilote nous parait suspect, il est mal habillé et ne porte même pas le logo de la compagnie de notre vol. L’équipage est en retard, encore un signe suspect… Une hôtesse s’installe au guichet et annonce l’embarquement. On donne notre billet à l’hôtesse elle ne contrôle même pas nos bagages, ni notre identité. Nous nous installons dans l’avion, en première classe, à côté d’un hublot, on pourra voir les paysages, les nuages, et le ciel tout bleu.
En route pour 9 heures de vol au-dessus de l’atlantique ! On décolle, on voit tout paris, la Tour Eiffel, Notre-Dame, c’est vraiment une belle ville ! Une heure de vol passée, malgré les nuages nous voyons le littoral breton, le petit déjeuner est servi. On s’endort, malgré l’excitation et l’angoisse de rater un évènement, de rater un monument ou le littoral New-Yorkais. L’annonce d’une hôtesse nous réveille, elle nous demande d’attacher nos ceintures, les fortes températures vont causer de brusque turbulence, on voit tout de suite la différence avec la France, le ciel est dégagé, aucun nuage. A travers la brume de chaleur, on commence à apercevoir des yachts, des navires de croisières, des cargos, c’est sans doute parce que l’on approche du littoral américain. Il nous reste une bonne heure et demi de vol, on discute avec un couple assis dans notre rangée, c’est leur voyage de noce, ils vont eux aussi à Manhattan, sans doute, le quartier le plus vivant du monde, avec ses tours, ses restaurants, ses musées et surtout Central Park.
Ca y est, on voit le territoire américain, et déjà, ses imposantes tours. On va enfin pouvoir poser le pied sur Terre, oui 9 heures dans les airs, c’est long, très long même. L’avion commence à descendre, mon cœur s’accélère…je stresse. L’avion rase le sol, on pourrait presque toucher les maisons avec nos doigts. Soudain l’avion accélère et change de direction, le pilote a sans doute remis les gaz pour éviter un crash. Une hôtesse confirme mon intuition, mais elle est brusquement coupée. Un homme reprend la parole, mais il parle une langue que je n’arrive pas à reconnaitre, ce n’est pas de l’anglais, mais ça ressemble au russe. Ma copine se colle à moi, tétanisée. L’homme semble violent et déterminé, un autre homme sort de la cabine il tient en joue le pilote. L’homme demande au pilote de traduire ses propos, on apprend donc que l’homme revendique un attentat terroriste contre les États-Unis sous l’ordre du président Poutine. L’avion reprend de l’altitude et se dirige vers Manhattan. Un troisième terroriste surveille les passagers, tandis que les deux autres surveillent le pilote et les hôtesses. Les enfants pleurent, le terroriste
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