L'homme Qui Aimais Les nérédies
Commentaire d'oeuvre : L'homme Qui Aimais Les nérédies. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dom197 • 13 Avril 2015 • Commentaire d'oeuvre • 618 Mots (3 Pages) • 1 377 Vues
La nouvelle L’homme qui a aimé les Néréides de Marguerite Yourcenare qui a été publié en 1963. Le personnage principal est « Panégyotis ». L’écrivaine utilise Jean Démétriadis pour donner le portrait initial du jeune homme. Il est décrit comme un homme vraiment « beau » envié par les autres du village. Il a même des rumeurs à son sujet qui a des maitresses. Il vit aussi dans le luxe pour un Grec, il aide avec les femmes du village et aussi son père et il vient d’une famille de « paysan » fortunée. Emphase est mise sur l’argent et l’aise qu’il va avoir dans sa future. Après que Panégéyotis a rencontré les « Néréides », son apparence physique change. « [U] ne sourire un peu écœurant déformait ses lèvres, dont les paroles, ne sortent plus. » Mais il n’est pas encore muet. L’auteur le décrit comme une personne malade et qui perd son esprit. L’accent sur l’affection est mis en valeur par le champ lexical de « maladie », « jauni », « fièvre » et « insolation ». Le portrait final de Panégyotis se trouve au début de la nouvelle, l’auteure le montre comme une antithèse du portrait initiale. Le fait qu’il décide de devenir un clochard et de quitter le confort de son village pour suivre les Nérédies. La nouvelliste décrit le personnage comme une statue ceci est accentué par le champ lexical de « musée », « statue » et « antique ». Le linge qui portent aussi est une antithèse la chemise blanche du débute signifie la pureté les pantalons qui portent à la fin sont roux qui signifie l’impureté. Le linge qu’il porte est rendu sale et troué. L’âge de Panégyotis au portrait final n’est jamais discuté, mais il est dit qu’il ne va pas vieillir et il a encore des traits d’un bel homme avec des « dents éclatent ». Le nom du personnage il y a le mot autiste qui a comme définition d’un refus de dialogue.
La demeure des parents du personnage principal est faite de pierre avec des « champs », « verger » et un « jardin de légume ». Une maison qui ne manque rien avec des moutons et un cours avant assez grands. Quand les moutons deviennent agités il quitte pour aller chez le vétérinaire qui est dans un autre « village sur le bord de la mer », mais il ne rend pas. Après ses parents l’apporte dans un « monastère » pour voir ci ils peuvent l’aider. L’écrivaine décrit l’emplacement où il rencontre les Nérédies proches de la mer, « un champ de figuiers » et une « source » « d’eau douce ». Quand il décide de quitter son village pour suivre les Nérédies il prend des chemins loin de la civilisation près des champs et de la forêt. Au début de la nouvelle, l’auteur décrit l’endroit où l’homme se trouve à l’entrée d’un petit café « sous une tente maigre » avec la mauvaise odeur du port. Le personnage part d’une ferme avec des vergers pour aller dans des champs et montagnes pour se retrouver dans un village qui pue.
Les lieux sont liés intiment à Panégyotis. Au début dans la maison familiale où tout est propre et beau avec beaucoup d’abondances il est défini comme un homme qui est tellement beau que les femmes veulent être avec lui et les hommes veules être lui. Quand il rencontre les « fées » il commence à vivre dans le monde imaginaire et se détourne des autres et vie isoler, car il a seulement besoin de l’imaginaire. Il finit dans un village qui est poussiéreux
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