Extrait d'un texte sur l'amour

Je veux juste oublier le jour où je t'ai rencontré. Le jour où nos regards se sont croisés avec tes yeux bleus comme le ciel. Le jour où, pour la première fois, j'ai vu ton sourire, ton splendide sourire qui a dû en faire tomber plus d'une. Le jour où ta peau a eu un contact avec la mienne. Le jour, où j'ai entendu pour la première fois le son de ta voix. Le jour où je me suis rendue compte que ta présence était plus importante que les autres, qu'elle était... différente. Le jour où j'ai ressentie pour la première fois cette sensation de papillons dans le ventre, du cœur qui s'emballe quand on aperçoit cet être si important. Je veux tout simplement oublier les souvenirs que tu m'as laissé. Juste ça, c'est la seule chose que je demande. Ça fait tellement longtemps que j'attends ce moment, trop longtemps, je suis prête à surmonter ça maintenant... Mais putain, c'est quand même pas compliqué d'oublier, de faire comme si tout ça n'avait jamais existé, comme si tout ça n'avait été qu'un rêve, comme ça n'avait plus aucune importance ! Et pourtant...

« Le manque est réellement le pire sentiment que l'on puisse ressentir. Et l'impuissance aussi. Et moi, je suis impuissante face à ton abscence... Quoi de pire ? Y'a toi, y'a que toi dans ma tête. Je veux juste être avec toi, c'est tout ce que je demande : ta présence. »

« J'ai pensé que le temps serait fier de moi, qu'il serait fier de ma patience, qu'il serait fier de m'avoir vue t'attendre pendant tout ce temps, avec cette petite pierre d'espoir incassable bien enfuie en moi. Je croyais que pour me récompenser, il me ferait cadeau de nous. Mais visiblement je me suis tromper sur le temps, parce que je n'ai jamais reçus de récompense mais je l'attends toujours dans l'espoir de te recroiser par hasard »

« Le manque est le pire sentiment qui puisse exister. »

« Dans l'espoir que tu reviennes, encore et toujours. »

« De quel droit tu te permets d'entrer dans ma vie ? De quel droit tu reviens sans prévenir, sans aucune expliquation ? Tu n'as pas l'air de réaliser à quel point je suis vulnérable en ce moment. À quel point je vais m'attacher à toi si tu commences à me montrer un peu d'intérêt. En fait, je crois que tu le sais... Tu le sais très bien. Et c'est peut-être même pour cette raison que tu agis comme ça. Tu sais très bien que tu peux me ravoir si tu le veux. Mais pour une fois, j'ai le goût de me dire: " Non ! Ne tombe pas dans ce piège encore une fois." »

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