Devoir 2 Management BTS Communication
Étude de cas : Devoir 2 Management BTS Communication. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar olakanta • 28 Avril 2020 • Étude de cas • 952 Mots (4 Pages) • 1 963 Vues
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Devoir 2 : Management des entreprises
*Note : les espaces entre les questions servent d’espace pour la correction
Question 1 :
Sur la base des 5 dernières années, Marie Louise a radicalement changé son style de direction depuis la création d’un département de formation (sans consultations au préalable) . Selon l’approche de R. Likert, elle a soudainement adopté un style autoritaire. Par peur que son entreprise ne soit plus productive, elle exigea à ses salariés des heures supplémentaires « récupérables à l’occasion », de rapporter du travail chez soi tous les soirs et les week-ends, peu importe les conséquences familiales, seul compte de satisfaire le client « à tout prix ». Marie Louise délaisse donc le côté humain pour ne laisser place qu’à la rentabilité de l'entreprise. Selon le schéma de Blake et Mouton, c’est un style directif 9/1, où l’on recherche l'efficacité de la production sans tenir compte du facteur humain (style taylorien).
En revanche, depuis la création de Numériperf, Jean-Charles n’a pas, comme Marie Louise, opté pour un style de direction radicale. Selon l’étude de Likert, il suit un style de direction consultatif. Il ne délaisse pas le côté humain nécessaire au bon fonctionnement de l’entreprise. Jean Charles continua de diriger son service comme il l’avait toujours fait, comme demander à chacun son point de vue, imposer à ses équipes des cahiers des charges exigeants mais en tenant compte des capacités et des besoins de chacun. Selon les définitions de Blake et Mouton, c’est un style directif 5/5, équilibré entre les nécessité de la production et le maintien du moral des salariés.
Question 2 :
L’entreprise Numériperf comporte plusieurs DAS (domaines d’activités stratégiques) dont la création et la vente de plusieurs logiciels destinés aux PME et TPE permettant une meilleure gestion des stocks, de la comptabilité, de la gestion des RH, etc.. avec en prime “un accompagnement des utilisateurs, une formation de prise en main et de perfectionnement, puis un centre d’appel pour une assistance après-vente”. L’entreprise cherche donc à combler toutes les attentes de leurs clients, pour les fidéliser au maximum.
Question 3 :
Au cours des 10 premières années de l’entreprise, Marie Louise et Jean Charles prenaient effectivement en compte les attentes de leurs principales parties prenantes. L’entreprise a grandi de façon mesurée et régulière. Par exemple, “Marie-Louise se faisait fort de proposer des hausses de rémunérations régulières (+/- 1/3 des profits)” qui permettent aux salariés de ne pas vouloir quitter leur fonction pour une autre entreprise plus rémunératrice. Aussi, “ Marie-Louise avait instauré un système d’horaires modulables pour permettre à tous ses salariés de concilier leur vie professionnelle et personnelle”
Les actionnaires trouvent aussi leurs comptes dans l’histoire, car “afin de permettre la croissance de l’entreprise, l’auto-financement était assuré par la mise en réserve d’1/3 des profits, le dernier tiers étant affecté à la distribution de dividendes” pour s’assurer de “ la pérennité et de la croissance de leur entreprise”.
Question 4 :
A la suite de son changement de style de direction et de la création d’un nouveau département de formation, Marie Louise a voulu embaucher un manager à la tête de de ce dernier. Jerome, qui lui voulait à l’origine être recruté en tant que programmeur, à été choisi pour tenir ce poste à haute responsabilité, car “elle vit dans son cv que celui-ci avait été professeur d’informatique”. En revanche, Jerome “oublia pendant l’entretien de préciser que son expérience d’enseignement avait consisté à faire quelques remplacements coupés de nombreuses périodes d’inactivité au cours des 3 années visibles sur le CV. De même, il ne porta pas à la connaissance de Marie-Louise que ces remplacements se faisaient en collège sur un public très jeune.” Il n’est donc pas qualifié pour obtenir ce poste à hautes responsabilités. Cette décision hâtive, sans consultations au préalable, confirme un comportement fondé sur la rationalité limitée.
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