Comparaison entre « L’écume des jours » de Boris Vian et « Germinal » d'Emile Zola.
Résumé : Comparaison entre « L’écume des jours » de Boris Vian et « Germinal » d'Emile Zola.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar PAPAZIAN • 9 Novembre 2021 • Résumé • 338 Mots (2 Pages) • 535 Vues
Loane
Papazian
Culture général et expression :
Analyse du texte « l’écume des jours » de Boris Vian.
L’écume des jours a été écrit par Boris Vian en 1947. Ce roman a été édité par la maison Pauvert et la librairie Arthème Fayard.
Dans cet extrait nous sommes au chapitre 25 où Colin et Chloé, les deux personnages principaux croisent des ouvriers au travail. Ils ont une discussion au sujet du travail où Chloé se demande pourquoi vont-ils travaillés. Ils discutent d’une manière courante, on imagine qu’ils sont proches. Colin et Chloé entament un long débat à ce sujet. Le narrateur est externe.
Nous supposons que l’auteur a pour intention de nous faire voir le milieu du travail agréable et ne pas justement aller travailler mais apprécier ce que l’on fait et savoir ce que l’on fait. Dans ce texte ils construisent des machines mais ne se doutes pas qu’il s’agit de les remplacer dans le futur.
L’auteur a utilisé le champ lexical du travail avec : « travailler », « machines », « ouvriers », « travail ».
Les phrases sont principalement interrogatives du coté de Chloé et affirmatives du coté de Colin.
Le texte à une tonalité oratoire car nous remarquons des interrogations, des phrases longues et complexe ...
Mot a connotation negatif !!!!!!!!!!![pic 1]
Comparaison entre « L’écume des jours » de Boris Vian et « Germinal » de Emil Zola.
Idée du texte |
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La vision du travail | Dans cet extrait, le travail est vu comme les enfers, il y a plusieurs métaphores nous traduisant ceci. | Dans cet extrait, le travail est vu comme quelque chose d’onéreux, car les employés ont un regard méprisant. |
La motivation des employés | Les employés ne sont pas motivés et craignent de mourir. | Les employés sont heureux de travaillés. |
La vision extérieure | En vue de la conversation que tiens Colin avec Chloé, la vision externe des travailleurs est qu’ils sont « bête » de faire le travail que des machines pourraient faire. | |
Les besoins des employés | Une bonne condition de travail, ainsi qu’une sécurité. |
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